Châteaux en Espagne. - Histoires de Sexe

Châteaux en Espagne.

... C’est elle qui nous a amenés ici. C’est elle qui a mené le jeu jusqu’à maintenant. Mais je veux lui montrer que je ne suis pas qu’une bite, une queue de gigolo qu’on utilise pour son plaisir, pour une vengeance. Je la bourre maintenant sans ménagement. Manifestement, elle aime. Elle en redemande. Je claque si fort mon ventre contre ses fesses que le bruit doit retentir jusque dans la rue. Je ne la retiens pas par ses hanches pourtant généreuses, mais encore par ses tétons. La salope jouit encore. J’ai parfaitement senti sa main qui est revenue vers son clito et qui accompagne ma baise. Je jouis. Je l’inonde. Je marque mon territoire. Georges nous attend, manifestement inquiet. Je le rassure d’une geste de connivence. Je pense que, pas un instant, il n’imagine ce qui vient de se passer. Son inquiétude doit être sur mon silence. Rassuré, il entoure sa femme de prévenance. Ils partent se coucher. Un peu plus tard, alors que je passe devant leur chambre, je les entends baiser. Quelques secondes et je bande d’imaginer ce mari glissant sa queue dans cette grotte que je viens d’honorer. ooo000ooo Le reste du séjour se passe tranquillement. Maryse trouve toujours une occasion pour me retrouver. La femme « coincée » passe des bras de son mari à ceux de son amant. Georges tient ses promesses et me gratifie de ses largesses. Je peux rentrer en France avec plus d’argent que j’en ...

... avais en partant. Mais Maryse m’invite régulièrement. Je suis resté son amant. Je découvre avec elle des restaurants étoilés, des hôtels luxueux. Mais je lui ai fait découvrir ces chambres dans des sexshops, chambres à thème qu’on loue pour un moment. Elle se sent pute de devoir passer devant des clients qui examinent des sextoys et autres, pour me retrouver. Elle adore aussi baiser dans une cabine alors qu’un film de cul passe sur l’écran. La bourgeoise reste à la porte et c’est une femelle avide et obéissante que je possède. Hier pourtant, j’ai reçu un SMS : Un peu plus tard : Le lendemain : Et puis elle m’appelle : — Marc, tu serais d’accord pour venir manger à la maison, samedi soir ?— Mais ton mari ? J’ai compris que vous aviez parlé ! Mais tout de même !— C’est vrai. Nous avons parlé des heures. Une sorte de bilan de notre couple. Nous avons abordé tous les sujets, même les plus intimes. Il m’a raconté son séjour avec sa maîtresse, son cadeau, ta présence.— Vraiment ! À ce point ? De tout ? Je doute que Georges ait avoué son penchant pour la soumission et la séance avec Lucina et ce mandrin qu’il s’est pris dans le cul. — Tout, je te dis. Cette Lucina, ce goût pour la soumission. C’est un peu comme moi avec toi. De ce point de vue, lui et moi sommes pareils.— Ah !— Alors tu viens ? Il y aura Béa.— Béa ?— Ne fais pas l’innocent. Fais-toi beau. On ne sait jamais…