Châteaux en Espagne.
Datte: 15/06/2020,
Catégories:
fh,
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vacances,
piscine,
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Oral
pénétratio,
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confession,
... l’époque.— Ah et comment ?— Au sport. Après les matchs. À l’époque je jouais au rugby. J’avais un copain qui affichait son homosexualité. On faisait partie de la même équipe. Vous comprenez, sous la douche… Il défiait certains qui restaient après. Moi aussi je restais, car on prenait le même bus pour rentrer. Il adorait sucer et faire cracher le gars. Et puis il se proposait pour qu’il le prenne. De fil en aiguille il s’est fait « des amis » qui restaient. Un jour, il m’a entraîné. Il m’a appris comment faire. Je…— Allons, Marc, pas de fausses pudeurs… Assumez… Il n’y a rien de déshonorant… Au contraire… Il faut tout essayer dans la vie.— Je sais, mais je n’ai jamais parlé de cela à personne.— Alors je serai votre confidente. Vous savez beaucoup sur moi…(petit rire).— Il m’a appris comment sucer un gars et le reste… Tout le reste.— Vous voulez dire que vous étiez passif aussi.— Oui. Les deux.— Et ? C’était comment ?— Bien, très bien même surtout au bout d’un moment. Il y avait une bonne ambiance. On ne se prenait pas la tête. C’était notre troisième mi-temps.— Vous n’avez pas continué.— J’ai déménagé.— C’est une belle expérience. Georges a découvert cela il y a peu. Mais seulement par moi… Justement, parlons de ma fête. Elle m’explique que finalement cela se passera à la villa. Juste une personne invitée, pas plus. Repas déjà commandé chez le traiteur. Je n’aurai qu’à servir et veiller à la musique. Soirée cependant habillée et moi je devrai mettre une chemise et un ...
... pantalon. Heureusement que j’ai cela dans mon sac. Un repassage sera nécessaire ! ooo0000ooo La personne invitée est en réalité une femme. Béa la présente comme une amie. Une Espagnole si j’en juge par son accent lorsqu’elle parle français. Mais pas une Espagnole typique ! Plus grande que moi, blonde, mais platinée et un corps à rendre jalouse la maîtresse des lieux. Le repas est agréable. Ils bavardent de choses et d’autres. C’est drôle de les voir, surtout Béa et Georges, habillés et conversant autour d’une table. Leur liberté est bien loin. On dirait un repas en France, au restaurant ou en famille. Ils prennent le digestif dans les fauteuils, près de la piscine. Il fait à peine jour, la lumière se fait discrète. Ils sont un peu « pompettes ». Ils parlent moins fort. Le couple est assis côte à côte, la femme, Lucina, de l’autre côté de la table basse. D’un geste, Béa me demande de mettre la musique. Elle a bien spécifié, « que des rythmes lents, chauds, langoureux », de ceux qui clôturent normalement une soirée. C’est son choix. Manifestement le premier déclenche une réaction chez Georges. — Tu te souviens ?— Bon anniversaire, mon chéri. C’est elle qui répond et lui tend un paquet. Il l’ouvre. À l’intérieur, un rouleau attaché avec un ruban et une enveloppe. Je suis assez loin, mais le rouleau semble être une photo. Il l’ouvre entièrement. Format A4, papier brillant. C’est une femme en photo. Je suis trop loin, mais à la façon dont Georges tourne l’image vers Lucina, je devine que ...