Mon jeune valet (2)
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
Gay
Mon jeune valet (2) Lorsque je me réveillais le lendemain, j’avais une trique pas possible, comme souvent le matin, mais accrue ce jour-là au souvenir de la soirée précédente. Je luttais contre l’envie de me caresser et sautait du lit pour me rendre à la cuisine, préparer le petit déjeuner. J’avais toujours la bite raide lorsqu’Ahmed est arrivé, la mine ensommeillée, le sexe au repos, s’étirant et baillant. Je l’accueilli avec un grand sourire et une tape sur les fesses. Nous avons pris notre collation matinale, assis côte à côte, dans le plus simple appareil, en échangeant quelques attouchements aux endroits sensibles de nos corps. A la fin du repas je bandais toujours et lui également. Lorsqu’il est parti se doucher et se préparer pour se rendre à la faculté, sa verge était au garde-à-vous, le gland touchant presque son nombril et se balançait au rythme de sa démarche nonchalante. Quel spectacle jouissif ! Lorsqu’il fut prêt, je l’attendais à la porte et portant ma main à sa braguette lui demandai : « as-tu mis un sous-vêtement » ? Je sentais bien qu’il en portait un et ajoutais : « Respecte la consigne. Retire-moi cela ». Confus il s’exécutait, retirait son Jean, puis son boxer rouge vif dont je m’emparai. « Pourquoi cette consigne me demanda-t-il » tout en enfilant à nouveau son futal. « Parce que cela m’excite de te savoir ainsi exposé aux regards égrillards d’autres hommes » lui répondis-je, tout en lui caressant son petit cul ferme et rebondi. Après qu’il se fut ...
... rajusté, je le laissais partir et jetai son boxer à la poubelle. Je fis de même avec ses autres sous-vêtements que j’allais chercher dans ses affaires. Je savais qu’il devait rentrer vers 17h et tout en me livrant à mes occupations habituelles, j’organisais mentalement la petite soirée festive dont je rêvais. A son retour, toujours à poil, je l’accueilli dans l’entrée par une pelle bien baveuse, tout en lui défaisant sa ceinture, déboutonnant son jean et le faisant glisser vers ses pieds. Sa bite brûlante dans la main gauche, la droite massant ses fesses duveteuses, je sentais mon zob se raidir entre ses cuisses tendis-que le sien se durcissait et remontait le long de mon ventre. J’essayais de rester maître de moi, m’écartai de cette chair ô combien attirante et lui dit : « Fous-toi à poil et viens te doucher ». Nous nous sommes retrouvés tous les deux sous la douche, l’eau chaude coulant sur nos corps dénudés, un peu à l’étroit et je lui ai ordonné de ma laver. Avec beaucoup de douceur il m’a savonné de haut en bas, n’évitant aucun repli de mon anatomie et s’attardant longuement sur mes fesses, puis ma raie et enfin mes bijoux de famille. Je me remis à bander ferme. L’arrêtant d’un geste brusque lorsqu’il tenta d’introduire un doigt dans mon œillet, j’entrepris de lui rendre la pareille. Quel plaisir de tenir ce beau corps masculin, de le frictionner de mes mains savonneuses, de caresser ses couilles, tâter ses testicules, branler doucement sa verge circoncise. J’adorais ...