Mon jeune valet (2)
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
Gay
... particulièrement les mecs circoncis et poilus. J’étais servi. Résistant au désir qui me faisait bouillonner le sang et battre ma bite, je le rinçai rapidement et il faisait de même pour moi. Après nous être séchés mutuellement avec la même serviette j’annonçais : « nous sortons ce soir prendre l’apéritif dans un sexe-club de ma connaissance. Tout sera permis, sauf de conclure, car tu devras te réserver pour moi ». J’ai enfilé un pantalon de toile, directement sur la peau encore un peu humide, ainsi qu’un pull léger. Ahmed a mis rapidement un survêtement de sport gris clair, escamotant ainsi sa virilité sous la forme vague du pantalon de coton et nous avons quitté mon appartement, pour nous rendre à environ 1 km de chez moi, au bar « Les eaux troubles ». Je sonnais et le patron qui me connaissait m’ouvrit aussitôt. Dès l’entrée, le forfait boissons payé, nous dûmes nous dévêtir entièrement et laisser nos affaires dans un sac, conservé à la caisse. Puis nous entrâmes dans la salle où il y avait déjà une dizaine de clients, d’âges divers, tous entièrement nus comme nous, les uns perchés sur des tabourets de bar, les autres vautrés dans des fauteuils, les jambes écartées et le sexe en évidence, d’autres encore déambulant, le verre à la main. Deux mecs, des habitués comme moi, me saluèrent et j’allais vers eux pour leur présenter Ahmed. nlinjjfk « Je vous présente mon jeune valet. Je viens de l’embaucher et je lui fais découvrir Paris ». Ahmed, qui n’était sans doute pas ...
... exhibitionniste comme moi, répondit à leurs saluts d’un air un peu gêné. Avec une grande tape sur les fesses, je lui demandai d’aller chercher deux bières au bar. Pendant son absence j’expliquai à mes deux copains qu’ils pouvaient s’amuser avec Ahmed. Aussi, lorsque mon bel Arabe revint, ils le firent asseoir sur le canapé qu’ils occupaient, entre eux deux. Ils étaient ainsi bien serrés. Je m’installais devant eux, sur un pouf, dégustant ma bière tout en les observant. Le plus âgé d’entre eux,Pierre, la quarantaine bien sonnée, massif, poilu, cheveux bruns courts et collier de barbe, débutait une branlette, la main droite sur la verge encore molle d’Ahmed, alors que le second, Gilles, un grand blond aux cheveux bouclés lui descendant dans le cou et à la peau laiteuse, environ trente ans, le corps imberbe et entièrement rasé, caressait la cuisse brune de mon valet de sa main gauche. La tête rejetée en arrière, les jambes maintenant écartées, mon jeune Arabe se mit à bander comme un âne, alors que le grand blond s’emparait de sa bouche avec vigueur. J’allais me joindre à eux, lorsqu’une main ferme se posa sur mon cou, qu’une cuisse tiède se colla à mon dos et qu’un énorme sexe noir et odorant effleura ma joue droite alors qu’une voix basse susurrait : « Voilà mon petit vieux vicieux. Contant de te revoir ». Je retournai la tête et levai les yeux, tout en effleurant de mes lèvres cette verge encore au repos et reconnu un Antillais athlétique, prénommé Fulbert, d’à peine plus de vingt ...