L'étalon aiguille (6)
Datte: 17/06/2020,
Catégories:
Transexuels
... la gueule tous les trois! — Fais attention, Sam, je t’en prie, fais très attention. — Ne crains rien, je vais faire ce qu’il faut pour faciliter la pénétration, tu n’auras pas mal, je te promets. J’enduisis le bout de ma verge avec du gel et la positionnai sur sa petite rondelle rose foncée après avoir écarté ses fesses avec mes mains. Elle bloqua sa respiration. J’entamai alors un mouvement circulaire du bassin qui, l’action lubrifiante du gel aidant, me permit de lui dilater un peu les sphincters. — Bouge sur Philippe, Tiffanny, bouge et ne t’occupe pas de moi. Tu vas voir… Elle continua à pousser de faibles gémissements, mais s’exécuta, docile. Chaque fois qu’elle décollait son bassin du ventre de Philippe, mon sexe faisait son trou en elle, si j’ose dire. Au bout de deux minutes, ce fut à mon tour de ne pouvoir retenir un cri d’extase lorsque mon gland tout entier entra en elle. Bien qu’en équilibre un peu précaire, je la saisis par les hanches. J’accompagnais maintenant chacun de ses mouvements d’une nouvelle pression, et centimètre par centimètre, la sodomisais de plus en plus profondément. Bientôt, elle fut pénétrée à fond par nos deux phallus et se retrouva bloquée entre nous deux. Elle se pâmait tellement qu’elle avait du mal à respirer, et elle se mit à crier sa jouissance de manière désordonnée lorsque Philippe et moi recommençâmes à la limer doucement. L’atmosphère était chauffée à blanc et la pièce était emplie de nos cris à tous les trois. Nous explosâmes ...
... finalement en elle à peu près en même temps. — Je ne sais pas pour toi, Sam, mais je débande déjà ! Merde… — Non seulement je crois que ça tient encore, mais je ne veux pas m’arrêter là. Je veux continuer. Oh oui, Tiff’, je veux recommencer. Décidément doué pour les acrobaties, Philippe se retira d’elle et réussit à se dégager sans briser notre étreinte. Nous la fîmes alors mettre à quatre pattes, moi la tirant par les hanches, et lui l’aidant à pousser sur ses bras. Dès qu’elle fut en position, je recommençai à la pistonner. Je crois que j’avais rarement vécu une telle excitation. Mes soupirs et les "Oui" sonores que je laissais échapper répondaient comme un écho à ceux de Tiffanny. Profitant largement de l’espace laissé libre par le "départ" de Philippe, mon sexe glissait sans résistance et elle semblait accepter beaucoup mieux ce qui devenait de véritables coups de boutoir. Il enleva les cuissardes, la minijupe et le chemisier qui lui collaient à la peau et se laissa tomber dans un fauteuil face à nous pour profiter du spectacle. Après un passage à vide d’une petite minute, mon érection redevint sans faille et à ma grande surprise, je réussis même à éjaculer une deuxième fois au creux de ses reins avant de m’écrouler sur elle, anéanti par la vague de plaisir qui venait de nous submerger à nouveau elle et moi ! Emoustillé par ce qu’il venait de voir et d’entendre, Philippe aussi retrouvait un peu de vigueur, mais à son grand dam, pas suffisamment pour réussir à la sodomiser à son ...