1. Journaliste, une carrière à part (2)


    Datte: 18/06/2020, Catégories: Hétéro

    ... commençait à se masturber. La vieille massait mon buste sans retenue. Elle avait coincé mes tétons entre ses index et ses majeurs et les faisait ainsi rouler entre ses doigts. Ses caresses expertes et répétées, ajoutées à la situation, me mirent en émoi. mjfmyyuh Tandis que Marlène faisait lentement rouler ma culotte sur mes cuisses, son époux se branlochait toujours. Je soulevai mes pieds l’un après l’autre afin de me libérer du minuscule bout de soie. La femme me fit tourner sur moi-même afin de présenter l’ensemble de mon anatomie à son homme. Elle me replaça face à lui et, une fois revenue dans mon dos, commença à me masturber d’une main tandis qu’elle flattait ma poitrine de l’autre. La sensation de ses doigts contre ma chatte m’arracha un petit geignement de plaisir. Elle malaxait maintenant mes tétons, tout en m’embrassant dans le cou. J’écartais mes cuisses fin de permettre à ses doigts de s’insinuer dans mon intimité. Je jouis ainsi, debout, par surprise ; Mon corps fut soudainement agité de soubresauts puis de spasmes, tandis que je râlais d’une manière animale qui me surprit moi_même. La vieille avait pris le pouvoir, ralentissant ses geste s quand elle me sentait prés de l’orgasme puis insistant à nouveau , lorsque celui-ci s’éloignait. Elle relâcha son emprise au bout d’un long moment quand son mari nous signifia en grognant sa propre jouissance. Exténuée, je me jetais ...
    ... littéralement sur le sofa. Ainsi s’acheva ma première soirée et ma première expérience chez les Travers. D’autres allaient bientôt suivre.Ainsi s’acheva ma première soirée et ma première expérience chez les Travers. D’autres allaient bientôt suivre. Je devins quelque peu la groupie du couple, je fus régulièrement invitée chez eux ; l’histoire finissait toujours de la même manière ; Jeux saphiques avec l’épouse sous le regard du mari que je soupçonnai d’être légèrement impuissant . Ils choisissaient mes tenues toujours plus légères, à la soie succéda le latex puis parfois le cuir. Lui se délectait de voir sa femme m’emmener à l’orgasme par ses caresses. Elle faisait alterner rudesse et douceurs dans ses jeux. Parfois elle faisait appel à des objets érotiques, des vibrateurs ou des godemichés qu’elle se plaisait à insérer en moi quand elle m’avait suffisamment excitée. Une fois par semaine, j’allais donc égailler leurs soirées. J’avoue qu’être la chose de ce couple solitaire ne me déplaisait pas. Leur compagnie était par ailleurs charmante et leur attention à mon égard toujours prononcée. Ils ne m’obligeaient à rien. Je n’eus jamais de rapports physiques avec lui et jamais Marlène ne m’obligea à quoi que ce soit qui put me déranger. Un an plus tard la chaîne changea de propriétaire et de nom. Ma carrière connut alors un nouveau tournant et ma vie privée de nouveaux tourments, cette fois-ci. 
«12»