Nouveau départ pour une nouvelle vie - Histoires de Sexe

Nouveau départ pour une nouvelle vie

... ferme. Le logis leur fait face, c’est une imposante construction, de cinq fenêtres de large, dotée d’un étage et surmontée d’un grenier à grain. De chaque côté de celui-ci, et faisant le tour de la cour, des étables, des hangars et des granges. L’ensemble est réellement vaste et dégage un charme désuet, l’impression trouble d’une prospérité passée. Le petit groupe s’engage silencieusement dans la cour tout en observant avec respect les bâtiments imposants qui les entourent. Cathy ne reprend la parole que lorsqu’elle atteint le seuil du logis. — C’est une belle maison, non ? Arnaud lui répond tout en observant avec attention l’état des bâtiments. — Effectivement. C’est réellement très vaste.— Ça me plairait bien d’habiter ici.— Tu ne veux pas rester à Rochefort ?— Et si on habitait tous ici ? On y serait bien.— C’est une belle maison, mais c’est la tienne.— Nous vivons en couple, mais à quatre. Nous pouvons partager cette maison. Elle deviendra la nôtre si nous la rénovons tous ensemble.— L’idée est tentante. Arnaud observe les murs d’enceinte qui encadrent la cour centrale. — On serait peinards ici. On pourrait même se balader nus en extérieur. Tristan abonde en ce sens tout en observant la grande cour intérieure de la ferme. — Oui, et on pourrait même installer une piscine par ici.— Tout à fait ! Je me vois déjà allongé au bord de la piscine en train de bronzer.— Et moi, je me vois déjà en train de te sucer au bord de la piscine.— Humm ! tu me tentes… Cathy s’insurge. — ...

... C’est dingue, vous ne pensez vraiment qu’au sexe. Et entre mecs, en plus ! Nous sommes là nous aussi. Arnaud lui répond sans hésiter. — Oups ! C’est vrai, ça.— Moi aussi, je peux te sucer, mon chéri.— Mais avec plaisir ! Cathy s’adresse alors à Sandrine. — Et toi, qu’en penses-tu ?— Je pourrais aussi sucer Tristan, si ça lui fait plaisir. Mais ce que je préfèrerais, c’est me faire masser par quatre mains, allongée sur un transat. Continuant leur visite, ils pénètrent alors dans le bâtiment principal. Les pièces sont vides. Une puissante odeur de moisi pénètre avec force dans leurs narines. D’imposantes toiles d’araignées ornent le plafond et les planchers vermoulus craquent à chacun de leurs pas, laissant s’échapper d’épaisses gerbes de poussière. Tout ceci masquerait presque la majesté de l’imposante cheminée de pierre qui trône dans la cuisine. Tandis qu’ils continuent de visiter le corps de ferme, les écuries et les granges, Tristan se met déjà à imaginer les aménagements possibles. — C’est réellement très grand. Il y aurait moyen de faire au moins une dizaine de chambres. Arnaud répond alors, sur le ton de la plaisanterie. — On n’a pas besoin d’autant de chambres. Une seule suffirait, avec un très grand lit. Néanmoins, cela inspire fortement Sandrine. — Et si l’on aménageait un gîte ? Tristan réagit immédiatement. — Tu rigoles ?— Non, je suis très sérieuse. J’ai passé pas mal de temps à l’office de tourisme, je sais qu’il y a un gros manque de gîtes dans l’arrière-pays. En ...