Nouveau départ pour une nouvelle vie - Histoires de Sexe

Nouveau départ pour une nouvelle vie

... mutuel, si tu es d’accord, pourquoi pas. Mais cependant, je préfèrerais quand même participer.— Je comprends. Tu deviens jaloux, mon chéri ? Tristan réalise que tout ceci n’est pas très simple, ni très sain. Il s’efforce alors d’expliquer son sentiment du mieux qu’il le peut. — Peut-être un peu. Comme disait Cathy, nous sommes un couple à quatre. Je serais peut-être jaloux si tu avais des rapports extérieurs à notre carré. En plus, dans le cas d’une chambre d’hôte, cela pourrait passer pour de la prostitution. Il faut faire très attention à cela. Maintenant, si un couple de vacanciers nous plait, on peut fort bien envisager des rapports mutuels basés sur le plaisir et l’échange.— C’est bien dit. Cathy se projette à son tour dans le futur. — C’est une formidable idée. Je suis impatiente d’en profiter. Arnaud la ramène alors à la dure réalité. — En attendant, il y a énormément de travaux. On n’est pas près d’en profiter. Tristan demeure néanmoins plus optimiste que son ami. — Oui, mais il n’y a rien d’insurmontable. Les murs sont sains et la charpente aussi. Il va falloir réviser la couverture, poser des dalles, couler des chapes, refaire les parquets et l’isolation, poser de nouveaux vitrages et des volets, créer des cloisons, refaire toute l’électricité et la plomberie.— Mais il y a quand même beaucoup de travail.— On peut ouvrir progressivement. Tristan s’adresse ...

... alors à son amie Sandrine. — Et toi, est-ce que tu t’y vois déjà ?— Oui. Je m’imagine même en train d’accueillir nue les nouveaux clients, je me demande l’effet que ça fait, mais ça doit être très excitant. Et je me ferais volontiers pénétrer au bord de la piscine. Cathy reprend alors la parole. — C’est marrant, j’imaginais presque la même chose. Ça promet. J’ai l’impression que ça va être une partouze permanente. Arnaud s’efforce de rester raisonnable malgré tout. — Ça va pas se passer forcément comme cela tout le temps, mais c’est une possibilité. Quant à Tristan, il demeure pensif. « Ah, si j’avais su que j’allais en arriver là il y a quelques mois, j’avais tant à rattraper. Je ne m’imaginais pas en arriver là. » Cette impression, ses amis la ressentent aussi. Le désir d’en profiter monte en eux. Il y a encore beaucoup de travail, mais en attendant ce moment tant espéré, ils commencent déjà à se caresser mutuellement. Mus par un désir commun, dû à tout ce qu’ils viennent d’imaginer, ils se déshabillent au beau milieu de la cour de ferme et s’allongent sur leurs vêtements, au bord de leur future piscine. Placés côte à côte, ils se sucent et se lèchent mutuellement, changeant régulièrement de partenaire pour décupler leur plaisir. Le soleil disparaît derrière les murs tandis que d’intenses cris de jouissance partagée retentissent dans la cour. Ce n’est qu’un début.