1. La Grotte aux Fées


    Datte: 19/06/2020, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, fplusag, hagé, fagée, jeunes, frousses, copains, forêt, jardin, parking, voiture, vengeance, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, humour, policier, aventure,

    ... foule de petits cris qui manifestent son contentement. En trois minutes à peine, l’affaire est réglée : elle part dans une longue jouissance qui lui laisse le souffle coupé. Elle se redresse, puis regarde sa montre. — Vous n’avez pas idée de ce que j’aimerais faire avec vous… Mais je suis désolée, le temps nous est compté. Message reçu ; inutile de tergir ni de verser : elle a parfaitement raison. Je dégaine l’arbalète, et c’est alors que l’impensable se produit : elle m’attrape littéralement par la queue avant de me projeter sur la banquette arrière. Là, et toujours à la vitesse de l’éclair, elle s’empale sur moi et commence aussitôt une cavalcade infernale où, en plus d’aller et venir sur moi, elle parvient à serrer son sexe avec une telle force que j’en vois des étoiles. Logiquement, même si le temps presse, j’essaierais tout de même de résister autant que faire se peut pour que ma partenaire ait le temps de prendre son plaisir, mais cela m’est impossible… Il ne lui faut que quelques instants pour m’essorer jusqu’à la dernière goutte ; j’en ai le rouge au front. Elle sourit. — Passez me voir un de ces soirs… Même si nous ne sommes pas encore fiancés, il me tarde déjà de faire pousser des cornes sur la tête de cet abruti. Par contre, et à ma grande surprise, le colonel n’est apparemment pas dans le coin. Après tout, cette petite partie vite fait bien fait était peut-être réellement impromptue. ---ooo0ooo--- Bien entendu, lorsque je dépose Apolline avec force courbettes, ...
    ... celle-ci a pris soin de se repoudrer le nez, et personne ne peut avoir la moindre idée de ce qui vient de se produire. Par contre, tapie dans l’ombre, je remarque que Véronique est en train d’agiter les bras avec la discrétion d’un sémaphore. — Le colonel t’attend à l’entrée de la salle de bal. Magne-toi. Long couloir, grande salle, re-couloir ; me voilà sur les lieux. Salle de bal, vous dites ? Pourtant, d’après les cris qui parviennent jusqu’à mes oreilles, je dirais plutôt salle de baise. Sur l’un des immenses canapés de velours rouge, à une bonne trentaine de mètres de moi, deux types déjà aperçus au haras sont en train de pistonner une femme dont je ne vois pas le visage, mais qui, à en juger par le raffut qu’elle fait, est en train de se prendre un panard sévère. Par contre, on ne peut pas en dire autant des deux mecs qui – et cela se lit sur leur visage – semblent s’emmerder dans les grandes largeurs. Pourtant le pilonnage continue, avec d’ailleurs une amplitude assez impressionnante. Est-ce la fréquentation des chevaux qui leur vaut d’être équipés comme leurs petits protégés ? J’en doute, mais dans le genre manche de pioche, ils se posent là. Ce détail n’a certainement pas échappé au colonel qui, une fois de plus, a su trouver l’endroit idéal pour mitrailler le trio en long, en large et en travers. Par contre, et malgré tous mes efforts, je ne parviens pas à identifier la ramonée… Tout ce que je peux en dire, c’est qu’entre son ventre flasque qui pendouille presque ...
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