1. La Grotte aux Fées


    Datte: 19/06/2020, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, fplusag, hagé, fagée, jeunes, frousses, copains, forêt, jardin, parking, voiture, vengeance, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, humour, policier, aventure,

    ... nocturne de cette ville qui paraît pourtant tellement tranquille. Bref, la plupart du temps, tout cela me permet de me repointer à la caserne un tout peu moins essoré et un tout petit peu plus opérationnel. ---ooo0ooo--- Ce jour-là, il est aux environs de quatorze heures lorsque le téléphone de ma piaule s’ébroue. Or, il n’y a que mon colonel qui ait accès à cette ligne… Et que quand il veut quelque chose, il préfère d’habitude venir taper directement à ma porte. — Vous pouvez venir dans mon bureau ? Un coup d’œil rapide en franchissant la porte. À droite, derrière le bureau qui serait celui de sa secrétaire s’il en avait une, une jeune femme blonde qui serait ravissante si elle n’était pas en larmes et complètement décomposée. Pour lui, par contre, la rage et la colère sourdent par tous les pores de sa peau. Je salue. — Duroc, j’ai un service à vous demander…— Lequel, mon colonel ? Rien qu’à l’entendre, je suis déjà soulagé puisque cette furie n’est apparemment pas dirigée contre moi. — Je vous présente ma sœur, Isabelle… Je tourne machinalement la tête vers la demoiselle, et sa tenue me saute soudain aux yeux. Le chemisier blanc boutonné jusqu’au col, la longue jupe plissée bleu marine sans oublier les inévitables petites chaussures vernies sans talon, tout cela me semble issu d’un autre temps. Par contre, je remarque également que cette nénette a au bas mot vingt ans de moins que le colonel, ce qui est pour le moins surprenant, tout comme la légère hésitation qu’il a ...
    ... eue au moment d’annoncer son prénom. — … et j’ai un service à vous demander ; ce devra également rester totalement confidentiel. Intérieurement, je souris. S’il s’agit de trimbaler la demoiselle de la même façon que Caroline, seule de préférence, je me charge bien de trouver un moyen de lui faire retrouver la joie de vivre. — Il vous reste bien sept mois à faire, c’est cela ?— Absolument, mon colonel. En fait, je dois être l’un des rares bidasses à ne pas compter les jours. Il faut dire qu’entre ma petite vie pépère à la caserne et mes duettistes de choc, je ne suis pas vraiment pressé de retourner dans le civil… Même si, quelquefois, l’ambiance de la course auto me manque. — Très bien… C’est justement dans sept mois qu’Isabelle entrera dans… euh… une institution… Je ne sais quelle est cette fameuse institution, mais elle semble avoir le don de l’agacer au-delà de tout, les accoudoirs de son fauteuil m’en sont témoins. Le cuir martyrisé crie sous l’effort. — … dont elle ne sortira pas… euh… tout de suite. Encore une fois, il m’est arrivé de voir de Mansy préoccupé ou agacé, mais jamais dans une telle fureur. — Vous allez donc dire à vos deux dulcinées de se trouver un nouveau manche à astiquer et vous allez vous occuper de ma sœur.— Pardon ?— Vous m’avez très bien compris : vous allez la faire sortir, danser, rêver, l’emmener partout où cela vous chantera ; vous ferez tout ce que vous voulez ensemble… Bref, vous allez lui offrir une jeunesse en accéléré, puisque certains ont ...
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