Palingénésie dans la continuité
Datte: 19/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
piscine,
pénétratio,
couple+h,
Collègues / Travail
... le paysage à nos pieds. Géraldine s’étonne : — Oui, c’est un beau paysage, et il fait bon aujourd’hui… mais je ne comprends pas… Pour toute réponse, je me plaque contre son dos, lui saisissant les seins par-dessus ses aisselles, posant mes lèvres dans son cou. Elle glousse faiblement : — Ah OK, je vois… Et bien sûr, elle se laisse faire. J’en profite pour dévorer son cou, sa nuque, son lobe d’oreille tout en malaxant fermement ses beaux seins tandis que je me frotte éhontément contre ses mignonnes fesses que je connais si bien. Frénétiquement, je glisse mes mains sous son chemisier, et quelques secondes plus tard Géraldine se retrouve seins nus, son chemisier totalement déboutonné et son soutien-gorge gisant sur la moquette. Elle proteste pour la forme : — Mais !? Tu me fais quoi, là ? En réponse à sa question, je la plaque contre la large baie vitrée, écrasant ses adorables seins contre la surface froide. Elle proteste plus énergiquement : — Mais, mais !? T’es fou !? On va nous voir ! Me pressant contre elle, ma bouche à l’orée de son oreille, je gronde : — Et alors ? Ce ne sera pas la première fois qu’une secrétaire se fait baiser par son patron !— Mais quand même ! De plus, je ne suis pas ta secrétaire, mais ta collaboratrice !— Ce n’est pas ce que tu as dit tout à l’heure ! Puis d’un geste décidé j’abaisse sa jupe et en même temps son slip qui tombent à ses pieds. La voici à présent presque nue, plaquée contre la baie vitrée, son corps offert à tous les regards venant de ...
... l’extérieur ! En théorie, car nous sommes quand même au neuvième étage… Comprenant où je désire en venir, Géraldine se débarrasse tant bien que mal de ses derniers habits. C’est à présent une femme nue qui est offerte au panorama tandis que je me frotte sans vergogne contre ses fesses, la braguette largement ouverte. Il ne me faut pas bien longtemps pour trouver le chemin d’une certaine grotte déjà bien humide. Avec un grand soupir d’aise je m’enfonce avec délectation dans celle-ci. Puis je commence à pistonner ma compagne de jeu tandis qu’elle accompagne mes mouvements. Il n’y a pas à dire, mon actuelle et insolite situation (dans les deux sens du terme) n’a, grosso-modo, que des avantages ! Retour sur la suite de la conversation la plus étrange de ma vie. En quelques mots, Bernard m’apprend qu’il est condamné à brève échéance. Il me propose un deal ahurissant : il me forme à être un autre lui-même afin que je prenne sa place une fois qu’il ne sera plus de ce monde. En contrepartie, je dois être lui : je ne serai plus André mais Bernard, et personne ne devra le savoir, sauf Géraldine. Pour rendre crédible la transition, on prétextera une retraite de deux-trois mois pour raison médicale, et le tour sera joué, aidé par une petite opération esthétique et une teinte des cheveux, les miens. Pour l’instant, depuis presque deux ans, personne ne s’est aperçu de la substitution. Avec le recul, c’est normal : les relations en affaires sont superficielles, très superficielles. De plus, ...