1. Interlude


    Datte: 19/06/2020, Catégories: f, fbi, jeunes, grossexe, grosseins, vacances, revede, Transexuels Masturbation fgode, jouet,

    ... la porte, puis l’ouvre et fonce jusqu’à la cabine qui fait office de salle d’eau dans le mobil-home. Elle y rince et savonne le jouet à grande eau puis l’essuie. Le passant sous son nez, elle vérifie qu’il n’y reste plus qu’une simple odeur de plastique. Puis elle sort pour aller le ranger là où elle l’a pris. Et elle s’immobilise soudain : devant elle, sa tante vient d’entrer dans le mobil-home, exactement à l’instant où Julie sortait de la salle d’eau, complètement nue, le gode à la main. Tout aussi surprise, Cécile s’est immobilisée aussi, la fixant un court instant dans ses yeux gênés avant de baisser le regard pour observer tour à tour son corps troublant, les courbes parfaites de sa poitrine et de ses hanches, sa grosse verge pendante, et pour finir l’imposant vibromasseur qu’elle tient en rougissant de tout son être. — Euh… je… je t’ai emprunté ça, finit par bafouiller Julie devant les yeux ébahis de sa tante. Celle-ci passe par toutes sortes d’états d’âme. D’abord la surprise, teintée d’amusement. Puis la colère : sa nièce est allée fouiller dans ses affaires intimes. Et aussi de l’excitation ; le corps bisexué époustouflant de Julie ne la laisse pas indifférente ; et plutôt que de jouer ainsi avec un vulgaire sextoy, elle pourrait… Elle rougit elle aussi à son tour, comme des pensées concupiscentes l’envahissent. Les deux femmes baissent finalement les yeux, toutes les deux gênées. — Je vais le ranger, bredouille enfin la jolie hermaphrodite en passant, ...
    ... embarrassée, devant Cécile. La raison, l’amusement et la gentillesse l’emportent finalement chez cette dernière. — Garde-le, si tu veux. Je m’en trouverai un autre. « Ou peut-être que je n’en aurai pas besoin… » ne peut-elle s’empêcher de penser en jetant un dernier regard à la verge incroyable de Julie. ________________________ Une heure et tous ces embarras ont passé ; à nouveau complices, Cécile et sa nièce ont fini de s’installer et de se préparer. Elles claquent la porte du mobil-home et se préparent à aller visiter enfin le camp et ses environs, les dunes et la plage, le bar et le coin des animations. Julie consulte sa montre ; il est dix-neuf heures trente passées. Elle repense aux trois jeunes femmes qu’elle a « rencontrées » tout à l’heure dans les douches. Son sexe masculin se regonfle un peu. Elle a déjà oublié leurs prénoms, sauf celui de Clarisse, la jolie brune, assez fine, la moins timide. Celle qu’elle a fait jouir en premier. Elles s’étaient donné rendez-vous à vingt heures près du bar. Elle pourra sans doute les baiser de nouveau… — Tu es prête, Julie, on y va ? lui demande sa tante, interrompant sa rêverie.— Oui… Elle réajuste discrètement son short en jean serré qui lui fait un peu mal à présent qu’elle bande en se rappelant Clarisse et ses deux copines. Puis les deux femmes s’éloignent de leur mobil-home, traversant le camping sous les regards affamés de quelques hommes qui les observent à la dérobée tandis qu’elles passent devant leurs emplacements pour se diriger ...
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