6 juillet - 13 juillet
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
amour,
photofilm,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couplea3,
hff,
... les situations à son avantage, qui est simplement gentil.— Pourtant, Dominique, Gwendoline… elle sait…— Bien sur ! Mais, d’une part, savoir que quelqu’un n’est pas libre n’a jamais empêché de l’aimer et d’autre part je pense qu’elle ne s’avoue pas ses sentiments. Voilà une complication dont je n’avais pas vraiment besoin. — J’espère qu’une première période d’exaltation passée, cela va se tasser et qu’un gentil garçon trouvera le chemin de son cœur.— Ce sera difficile elle ne jure que par toi, n’importe quel autre sera transparent.— Ne pourrais-tu aider à lui ouvrir les yeux, à me faire perdre mon auréole. Je ne suis pas un saint.— Je ne sais pas si je serais très convaincante. Vois-tu, si la situation était différente, que tu ne sois pas en main, il n’y aurait pas à me pousser pour que je tombe dans tes bras. Je m’en rends parfaitement compte, mais j’ai dix ans de plus que Véro, et je sais peut-être un peu mieux voir les choses, les accepter comme elles sont et les relativiser. Même si avec mon cher ex-patron ça n’a pas été flagrant. Avec un sourire charmeur elle me lance avant de rejoindre les danseurs. — Mais j’essaierais. Et ne fais pas cette tête là. Ce n’est pas si terrible que les gens t’aiment, c’est mieux que l’inverse. Je dois encore faire une drôle de bobine. Il faudra que je surveille un peu plus mes expressions, j’ai l’impression que des fois on lit en moi trop facilement. Je retourne danser. Maintenant que j’y porte un peu plus attention, je me rends compte que ...
... Véronique me dévore du regard et viens vers moi dés que possible. Autant que faire se peut, je m’efforce de mettre de la distance entre nous. Malgré tout je ne peux l’éviter éternellement. Je lui accorde deux danses en m’arrangeant pour que cela soit des rocks et non des slows. Aujourd’hui Gwendoline se montre nettement plus sage que lors de son anniversaire. Il faut dire qu’elle est aussi nettement plus sobre. La fête se prolonge dans la soirée. Il est 10h00 largement passées quand nous prenons congé. Au moment des au-revoir Notre hôtesse me saute à nouveau au cou en se confondant en remerciements. Anne retourne chez elle pour superviser le repas du lendemain. Nous l’accompagnons jusqu’à sa porte avant de rentrer à la maison. Je suis claqué. Tandis que les filles donne à manger au fauve, je me douche et vais me coucher. Je m’endors instantanément malgré mon intention d’attendre ma chérie. Quand je me réveille, je suis seul dans le lit. Dans la salle à manger, mes deux chéries prennent leur petit déjeuner. Je les embrasse et me joints à elles. Il parait que je dormais tellement bien qu’elles n’ont pas eu le courage de me réveiller. Une fois prêts, nous partons chez leur mère. Comme il est tôt, nous décidons de nous y rendre à pied. En passant près des Invalides, nous faisons une petite halte sur le banc ombragé d’un square. Je suis en train de rêvasser, quand je sursaute. Une main s’est posée sur mon entrejambe. C’est celle de Dominique. Le temps que j’atterrisse, elle a déjà ...