6 juillet - 13 juillet
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
amour,
photofilm,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couplea3,
hff,
... sorti ma queue. — Tu es folle !— Il n’y a que nous. Souffle-t-elle avant de ne plus pouvoir parler, car elle vient de me gober, et en jeune fille bien élevée elle ne parle pas la bouche pleine. Elle s’active avant de laisser la place à sa sœur. J’essaie de les raisonner. Mais visiblement je dois manquer de conviction, puisqu’elles continuent d’œuvrer alternativement. En voyant sa sœur m’avaler presque entièrement, confirmant ainsi son don de gorge profonde, Gwendoline essaie de l’imiter, mais elle réussit beaucoup moins bien. Elle a un ou deux hoquets qui m’inquiètent. Je me vois mal avec son petit déjeuner en garniture de sexe, mais fort heureusement cela passe. Elles y mettent de l’ardeur, considérablement d’ardeur. Elles arrivent à bout de ma résistance. Je les avertis que ça va venir. C’est Dominique qui m’a en bouche quand je pars. Elle avale tout et avant de la ranger dans mon pantalon elle nettoie consciencieusement ma queue à coups de langue. Durant toute l’opération, je jetais quelques regards alentour pour repérer d’éventuels gêneurs. J’échange un baiser avec chacune de ces deux coquines, avant que nous reprenions notre chemin. Et Gwendoline de conclure : — C’est dommage de ne pas avoir eu les appareils photo. Arrivés, les filles ouvrent avec leur clé. Après avoir embrassé Anne, nous passons au salon en attendant « Oncle Georges ». Elle a fait préparer par la cuisinière un repas froid, servi en une seule fois, pour ne pas que les grandes oreilles des domestiques ...
... traînent pendant le repas. On sonne. La bonne introduit un monsieur distingué, qui ne fait pas ses soixante dix ans passés. Anne et les filles l’embrassent. La bonne est sortie quand Anne nous présente : — Bernard La Contrie, bibliothécaire, celui qui a trouvé la clé du cœur de mes filles. Georges Doucadal, compagnon de réseau de mon beau-père et d’Andrée, ancien directeur de la Société et surtout ami fidèle. Chacun déclare qu’il est enchanté et il me donne une franche poignée de main accompagnée d’une tape amicale sur l’épaule. Nous prenons l’apéritif au salon. Nous discutons de choses et d’autres avant qu’il me demande comment nous en sommes arrivés à notre trio. En passant sous silence bien sur le rôle d’Anne, nous lui en narrons le comment des deux sœurs et moi. L’arrivée de Dominique à la bibliothèque, les heurts, même la fessée, la réconciliation. La venue de Gwendoline pour travailler, qui s’attache à moi car sa sœur ne l’avait pas mise au courant de nos relations. La déception quand elle nous surprend à nous embrasser (Je remplace par cette version soft, le fait qu’elle m’avait découvert en pleine action avec sa mère) Le coup de vase et l’arrangement décidé à l’hôpital. L’histoire de la fessée le fait sourire et il s’étonne que Dominique n’ait pas eu une réaction plus abrupte. Elle lui explique le pourquoi de la chose. Il conclut ce récit en affirmant qu’il savait que les sœurs avaient du caractère et ne se laissaient pas arrêter facilement quand elles voulaient quelque ...