6 juillet - 13 juillet
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
amour,
photofilm,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couplea3,
hff,
... l’inauguration de son petit trou et de ses performances buccales, qui devraient être intéressantes. Je porterais les bobines de ces derniers jours dès demain chez le photographe. Le lendemain justement, en allant travailler, nous avons eu une grosse frayeur. Tandis que nous attendions le métro un quidam s’est emmêlé les crayons et m’a bousculé comme la rame arrivait. Heureusement, avec l’aide de Dominique je n’ai pas perdu l’équilibre, car il est peu recommandé d’essayer de prendre un métro qui est portes fermées et qui roule. Nous venons de fermer la porte sur le dernier lecteur avant la pause déjeuner. Comme je suis dans la cuisine pour boire un verre d’eau, Dominique me surprend lâchement par derrière. Elle me prend par la taille et se serre contre moi. Je sens ses seins contre mon dos. Elle m’embrasse dans le cou. Quand elle relâche un peu son étreinte, je me retourne et nos bouches se retrouvent pour un long baiser. Elle me murmure à l’oreille : — J’ai fait une sottise. Je ne dis rien et attends la suite. Elle se recule un peu : — Ce matin j’ai oublié de mettre un slip. Elle retrousse sa jupe pour me faire constater de visu la véracité de ses dires. Et dire que de la matinée je n’avais rien remarqué. Elle enchaîne : — Je confesse ma faute. Je suis une vilaine fille, mais je suis prête à réparer. Je la vois venir avec ses gros sabots, en conséquence de quoi je la laisse venir. Après avoir vainement attendu une intervention de ma part, elle se décide à reprendre : — ...
... Heureusement, par le plus grand des hasards, je crois avoir ce qu’il faut… Elle farfouille dans son sac et en sort quelques bouts de tissu, quelques décimètres de chaînette, un petit cadenas et deux godes. Elle me tend le tout en me regardant d’un air innocent. Je m’en saisis en commentant mezzo voce : — Un pur hasard.— Il nous faut dans la vie faire la part du hasard. Tout dépend du hasard et la vie est un jeu— Tu te laisses habiter par les muses. Elle ne met quelques instants avant de pouffer. Elle a très bien pigé l’art de décaler les sons, d’autant qu’elle me répond, en ouvrant mon pantalon pour en faire sortir mon sexe : — Les beaux-arts sont un plaisir des Dieux, mais cela ne m’empêche pas d’aimer le chic de la botte, même en cette saison. Elle le gratifie de quelques gâteries, avant de se retourner et de s’appuyer sur la table. Je la déshabille et passe lentement ma main entre ses cuisses. Sa chatte suinte déjà abondamment. Devant d’aussi bonnes dispositions, je ne m’embarrasse pas d’autres préliminaires, je la pénètre d’un seul coup. Elle ne s’y attendait pas et a un léger sursaut, avant de se cambrer un plus encore et d’ouvrir le compas de se jambes. Je la saisis par la taille, la baise. Son rythme s’accorde au mien, elle vient au-devant des coups qui la transpercent, même ses halètements sont synchro. Le mouvement de ses fesses, l’ondulation de son bassin, le piston qui entre, sort et fouille son intimité me fascine. Son con ruisselle inondant ses cuisses et mes bourses. ...