6 juillet - 13 juillet
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
amour,
photofilm,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couplea3,
hff,
... Sa croupe s’agite maintenant de mouvements désordonnés, brusquement elle se raidit, ravalant un cri qui se transforme en un long gémissement rauque. Je continue à la ramoner, je sens que cela vient, je me retire et arrose entre ses fesses. Je l’empêche de se redresser, utilisant ce que je viens d’y répandre, je lui caresse la pastille, y aventurant un doigt. Je ne perçois pas de réactions négatives, j’insiste longuement, avant de m’emparer du plus petit des godes posé sur la table. Je complète le lubrifiant naturel d’un peu d’artificiel dont elle a pris la précaution de se munir. J’ajuste l’objet et l’enfonce lentement. Ma chérie à un petit mouvement, mais elle me demande de continuer. Elle retire ses bras sur lesquels reposait sa tête. Sa poitrine s’écrase sur la table. Elle prend ses fesses à deux mains pour les écarter et dégager encore mieux le petit trou habituellement dissimulé. Quand tout a disparu, je demande à nouveau comment ça va. Elle me répond que ça chauffe, mais rien de comparable avec la première fois. Elle en est ravie. Je ne veux pas doucher son bel optimisme en lui faisant remarquer que ma queue, sans me vanter, est d’un calibre supérieur à ce que je viens de lui planter dans le cul. Mais c’est tout même bon signe. Elle me demande de le bouger. Je le fais tourner, entrer, sortir. Bien qu’elle continue à tendre les fesses en les maintenant écartées, il m’apparaît que cela ne lui est pas des plus agréables. Malgré tout, quand je lui suggère d’arrêter pour ...
... aujourd’hui et de poursuivre un autre jour, elle refuse. J’enfonce donc le gode bien au fond, je m’empare du second et l’enfile dans son orifice encore libre. Là pas de difficultés. Je nettoie les lieux avant de poser les chaînettes et leur parure de tissu. Nous nous habillons pour sortir déjeuner hâtivement. Avant de nous rendre chez Gaëlle, nous passons chez le photographe, récupérer les photos déposées la veille, puis je vais acheter quelques fleurs. Quand nous arrivons chez la copine, Gwendoline est déjà là. Gaëlle me saute au cou comme une vieille médaille ou plutôt comme une jeune médaille, m’embrasse et demande, illico, à voir ses photos. Je les étale sur la table, d’abord celles prises dans la salle de bain, puis celles prises dans la chambre. Laissant mon bouquet en plan, elles se penchent dessus. Ça glousse beaucoup du côté de ces demoiselles. Les commentaires sur leur prestation vont bon train. Il faut reconnaître que les clichés sont fort émoustillants. Les chutes de reins sont somptueuses et les chattes où des mains, autres que celles de leur propriétaire s’égarent, ne le sont pas moins. À propos de mains qui s’égarent, une des miennes va se perdre sous la jupe de Gwendoline. Je ne suis pas le seul à être émoustillé par ce qui est exposé sur papier glacé. Quand j’atteins ma chérie dans ses œuvres vives, l’endroit est bien humide. À la manière dont elle avait écarté les cuisses et s’était cambrée en sentant mon intrusion, je m’en doutais un peu. Mais rapidement, à ma ...