1. La forêt de Ternevie


    Datte: 19/06/2020, Catégories: f, fh, inconnu, grossexe, forêt, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fantastiqu, merveille, nature,

    La région de Ternevie était fortement boisée. Située dans la partie la plus nordique du royaume humain d’Ernsvar, l’imposante forêt longeait les Monts Ferreux au Nord et débouchait sur les plaines d’Orvaania au Sud. Sauvage et peu explorée, c’était un territoire que les humains évitaient avec soin car un grand nombre de créatures, tels les gobelins et les ogres, parcouraient l’immense forêt. Azial la gobeline suivait depuis deux jours la piste d’un intrus. C’était la découverte de traces de pas suspectes qui avait mis la chasseuse sur la piste de cet étrange gibier. Il portait des bottes à semelles dures. La traqueuse savait qu’aucun ogre ne portait de chaussures aux pieds. Les traces étaient d’ailleurs bien trop petites pour un membre de cette race monstrueuse. Elles étaient aussi bien trop grandes pour un gobelin, qui préférait généralement les semelles molles des mocassins, ou encore des sandales de bois. Une conclusion très simple s’imposa à elle : l’être dont elle suivait la piste était un humain. Comme tous les membres de son espèce, Azial savait combien les humains pouvaient être des créatures dangereuses. La plupart considéraient les siens comme des primitifs guère plus respectables que des animaux. Souvent, des humains pénétraient leur forêt, tuant leur gibier, saccageant la nature et allant jusqu’à tuer les gobelins qui commettaient l’erreur de se trouver sur leur chemin. En contrepartie, les gobelins abattaient généralement à vue les humains assez fous pour ...
    ... venir aussi loin dans les bois. Ils étaient des ennemis héréditaires depuis des siècles. La jeune traqueuse gobeline n’avait jamais vu d’humain. Aussi loin des plaines du Sud, au cœur de la forêt de Ternevie, elle croisait pour la première fois un représentant de ces êtres dangereux. Son clan n’avait jamais été victime des prétendues atrocités perpétrées par les humains, aussi Azial n’avait pas cette haine féroce que certains gobelins des clans plus au Sud avaient dans le cœur. Mais elle savait devoir rester méfiante. Tous les récits qu’on lui avait contés les décrivaient comme des êtres aussi froids que sanguinaires. La traque touchait à sa fin. Sa proie remontait depuis peu le courant du Felnis, un petit ruisseau qui s’écoulait du lac Gorphel, à moins d’une lieue. Les traces étaient fraîches, datant de moins d’un sablier. Elle atteignit enfin les berges du grand lac aux eaux placides, prenant bien garde de rester dissimulée par les épais buissons. Elle avait comme armes un léger javelot et son poignard. Si jamais l’humain se montrait agressif, elle avait de quoi se défendre. Bien vite, elle repéra sa cible. Arme au poing et attentive aux moindres signaux de son environnement, elle progressa avec une lenteur et une prudence extrême sur la dernière centaine de pas. De sa cachette, elle apercevait clairement le grand humanoïde au teint clair qui pataugeait dans le lac, de l’eau jusqu’aux genoux, dos à elle et complètement nu. Surprise, la gobeline détailla avec plus d’attention ...
«1234...14»