1. La forêt de Ternevie


    Datte: 19/06/2020, Catégories: f, fh, inconnu, grossexe, forêt, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fantastiqu, merveille, nature,

    ... l’humain. Grand d’environ dix-huit ou vingt paumes, il avait une musculature puissante, rappelant à la petite créature celle d’un ogre. Ses épaules étaient larges, son torse puissant et ses jambes musculeuses étaient épaisses comme des bûches. Azial comprit immédiatement qu’elle avait sous les yeux un combattant à ne pas sous-estimer. Il devait avoir une force, une rapidité et une endurance qui la ridiculiseraient en cas de combat face à face. L’humain avait une peau bien plus claire que la sienne, mais couverte de nombreuses cicatrices de tailles et formes diverses. La majorité semblait être le fait d’armes tranchantes, mais certaines étaient des vestiges de morsures et de griffures, certaines assez horribles. La pisteuse en déduisit qu’il avait certainement dû combattre un grand nombre d’adversaires au cours de sa vie pour avoir reçu une aussi impressionnante quantité de blessures. Pourtant, il était encore relativement jeune. Elle estimait sont âge à une trentaine de saisons. Sur la berge du lac, le guerrier avait déposé ses vêtements pliés sur un petit sac à dos, près de sa cotte de mailles noire et de ses solides bottes de fantassin. Il y avait aussi un baudrier de cuir incrusté de clous, qui soutenait le fourreau d’une courte épée à large lame, ainsi qu’une courte lance en acier. Soudain, l’humain se retourna et regagna la berge d’un pas tranquille, apparemment perdu dans ses pensées. Il portait un long croc jauni en pendentif, ainsi qu’un anneau fait d’un métal vert. ...
    ... Elle put enfin voir son visage. Il était zébré de petites balafres, certaines très vieilles. Ses cheveux d’un brun foncé, presque noir, étaient coupés ras. Elle trouva étranges ses oreilles rondes et ses iris gris comme un nuage d’orage. Mais sa large mâchoire, son nez prononcé et son front massif lui donnaient un air viril qui la surprit. Elle lui trouva un certain charme. Elle avait toujours cru que si elle croisait un jour un humain, il serait laid et aurait des traits bestiaux et cruels, comme les ogres. Mais il ressemblait bien plus aux gobelins qu’aux terribles ogres. Le regard de la chasseuse glissa le long de son torse imposant jusqu’à son bas-ventre plat. Elle fut stupéfaite quand elle aperçut son entrejambe. Elle écarquilla les yeux, estomaquée. L’humain avait un sexe d’une taille incroyable. Celui des gobelins était bien plus fin et court que cet imposant morceau de chair pâle. Sa verge se balançait contre ses cuisses dans un mouvement que la gobeline trouva étrangement émoustillant. Honteuse, elle sentit une puissante chaleur se répandre dans son ventre, ses tétons se dresser sous le frottement de sa tunique, et même, comble de la perversité, sa fente intime devenir humide. Troublée pas ses étranges sensations, elle fit un effort de volonté et repoussa ses soudains désirs lubriques. Elle était là pour découvrir la raison de la présence de cet intrus, pas pour s’exciter à la vue de son sexe, aussi monstrueux et tentant soit-il ! L’étranger s’habilla rapidement, puis ...
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