Lucile amoureuse salope (10)
Datte: 20/06/2020,
Catégories:
Transexuels
... dire « salut Papa, je suis une fille maintenant ! » — Tu ne sais pas comment lui dire, c’est ça ? — Mmm !... — Le plus simple c’est que tu sois Marc à l’arrivée, ensuite vous trouverez bien un moment pour parler, non ? Ton père t’aime beaucoup, il aura sans doute mille choses à te dire aussi, je sais comment ça se passe ! A chaque fois, vous passez une demie journée à discuter dans votre coin et après ça se compte en heures entières… — Oui, c’est vrai… mais c’est un peu plus que de banales nouvelles. — Tu y arriveras, j’en suis certaine. Et je serais avec toi, promis ! Et puis, être Marc à l’arrivée, ça ne veut pas dire que tu ne peux pas être Jeanne au départ. On peut réussir à se changer dans un train couchettes, non ? Une demie heure avant le départ de leur train Jeanne et Lucile arrivèrent sur le quai avec leurs valises à roulettes. Elles avaient réservé deux couchettes jusqu’à Nice-ville où le père de Jeanne devait les attendre à l’arrivée du train. Des contrôleurs étaient présents sur le quai et dans le train pour vérifier les réservations et indiquer à chacun la localisation de sa couchette. — Je vais voir ce qu’il est possible de faire, mesdemoiselles, Dit un contrôleur à deux jeunes filles d’à peine quinze ans, mais le train est plein et je ne suis pas responsable des réservations. — Mais on peu pas aller avec eux, implora l’une des deux lorsque Lucile tendit son billet. Quand on a réservé on a dit qu’on préférait être avec des familles. — Oui et moi je dois trouver ...
... deux personnes pour échanger avec vous et je m’en occuperais sitôt que possible, c’est à dire une fois le train parti ! — C’est pour un échange de places ? Demanda Jeanne, si ça se trouve les nôtres pourraient convenir… T’en penses quoi, Chérie ? — Je ne sais pas ? Quelle est la nature du problème ? — Et bien ces deux jeunes filles ont été placées dans une cabine de militaires et apparemment elles ne se sentent pas vraiment rassurées. — Ça peut se comprendre, répondit Lucile… Je pense qu’à leur âge je n’aurais pas été rassurée non plus. Si les places qui nous ont été attribuées leur conviennent mieux, je serais ravie d’échanger nos billets avec les leurs. L’affaire s’arrangea ainsi et Lucile se dit qu’elles avaient eu de la chance. Il était évidemment plus probable qu’elles vivent des choses excitantes avec quatre bidasses qu’avec une petite famille en voyage. Quand elles ouvrirent la porte elles découvrirent les quatre jeunes gens en civil, leurs gros sacs de paquetages étaient entassés derrière l’échelle et ils étaient tous assis sur les deux banquettes du haut, très occuper à bavarder et à jouer aux cartes en se partageant une bouteille de whisky. Ils avaient entre dix-huit et vingt ans et semblaient plutôt costaud. Lucile et Jeanne remarquèrent un magazine porno négligemment posé sur l’une des couchettes centrales et se contentèrent de sourire. — Je suppose que nos couchettes sont celles du bas, Chérie, dit Jeanne en glissant leurs valises sous le lit. Bonjour messieurs, ...