1. Episode 1


    Datte: 03/10/2017, Catégories: fh, 2couples, hagé, fagée, jeunes, couleurs, couplus, cocus, oncletante, grossexe, complexe, vacances, piscine, hsoumis, Oral pénétratio, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... des paysages, comme des enfants, et de parler de leur vie parisienne. Manuel venait de Guadeloupe. Émeline ajouta qu’il était le meilleur de la classe. Ma femme les pressa alors de questions : ils se connaissaient depuis quand ? Et depuis quand étaient-ils amoureux etc. ? Émeline répondait avec entrain : ils se sont connus dans un nouveau module, il y a tout juste un mois. Dès le début, ils se sont bien entendus, assis côte à côte, discutant dans les couloirs etc. Mais ce n’est que le week-end dernier qu’ils prirent leur premier café hors du bahut. Comme Manuel habitait chez sa tante et qu’elle-même était en collocation, ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de beaucoup se voir en dehors du boulot. — C’est donc votre lune de miel ! s’exclama Michelle. On rit tous, et je vis dans le rétroviseur les deux amoureux échanger un regard langoureux. Émeline avait les yeux brillants et se mordait la lèvre inférieure en souriant béatement. La maison était coquette, rustique mais confortable, aménagée avec soin. Nos amis venaient souvent dans le Sud, et prévoyaient même de s’y installer pour leur retraite. Chaque couple posa ses valises dans une des deux chambres de la petite maison qui n’avait qu’un seul niveau, et on se rejoignit dans le salon. Je relevai le rideau déroulant de la porte vitrée : elle donnait sur un petit jardin planté de thym et de romarin, et d’un petit citronnier. On fut tous étonnés par la petite piscine au milieu. Émeline, tirant Manuel par la main, courut ...
    ... vers la piscine. — Venez, on va nager ! On n’avait pas prévu la chose. Le soleil n’allait pas tarder à se coucher, mais l’air était doux et vibrant, chaud pour la saison. — Pourquoi pas ? Michelle partit chercher des serviettes. Aucun de nous quatre n’avait de maillot de bain. Manuel, intimidé, attendait. Émeline enleva sa petite robe. Son corps était splendide, enveloppé par la lumière du soleil qui se couchait. Le string faisait ressortir des fesses pulpeuses et des hanches de paysanne, puissantes et généreuses. Le bandeau autour des seins laissait apercevoir de grosses galettes dorées qui semblaient vouloir déchirer le tissu qui les étouffait. Manuel s’enhardit alors et enleva son tee-shirt et son pantalon de toile. Il avait un poitrail massif, et des muscles saillaient littéralement de partout, des bras, des cuisses, des épaules, des fesses. Mais je fus surtout hypnotisé par son boxer, qui comprimait une virilité impressionnante. On pouvait percevoir le dessin de la verge, épaisse, qui penchait vers un côté, et des bourses lourdes et un peu tombantes, qui semblaient posées sur ses belles cuisses. Il inspira fortement en ouvrant largement la bouche et les narines, comme pour happer l’air des collines désertes autour de nous. — Ben alors, sois pas timide, déshabille-toi ! Michelle étala les serviettes sur l’herbe un peu folle du jardin. Elle avait déjà enlevé sa robe, ne portant plus qu’une culotte, les seins ballants, comme elle a toujours l’habitude de le faire à la plage ou ...