Episode 1
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
2couples,
hagé,
fagée,
jeunes,
couleurs,
couplus,
cocus,
oncletante,
grossexe,
complexe,
vacances,
piscine,
hsoumis,
Oral
pénétratio,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... les seins de Michelle pendant qu’elle me masturbait, puis elle me prit dans la bouche et avala la petite goutte que j’émis. On s’assoupit en se souhaitant bonne nuit lorsqu’on entendit un léger bruit, très discret mais on le remarquait parce qu’il revenait, cadencé. Après plus ample attention, on remarqua deux bruits entrelacés : un grincement sourd de lit, et un halètement rapide. « Ah l’amour », dit Michelle en rigolant. Ce double bruit dura bien une demi-heure. On admira la performance et on allait s’endormir pour de bon lorsque ça reprit. Ce n’était donc qu’une pause ! Je me remis à bander et je sentais Michelle s’agiter contre ma hanche. Je la pris par le côté, en la pénétrant par petits coups rapides. J’éjaculai et m’effondrai contre elle. Le bruit continuait, enveloppant, en réalité plutôt agréable, une espèce de berceuse. On s’assoupit sur son rythme. Une ou deux heures passèrent. Fatigués et excités, dans un demi-sommeil, on se berçait au rythme du halètement d’Émeline que bourrait son mec. Puis il y eut un long râle déchirant. Il nous réveilla complètement. Dans la chambre d’à côté, il y eut un silence, puis des chuchotements. Sans doute qu’ils s’inquiétaient du bruit que venait de faire Émeline. Nous, on ne bougeait pas. Alors ils reprirent. Michelle me saisit la bite et se remit à la branler, doucement, la tête posée sur mon épaule, ses seins chauds contre mes côtés. Sans qu’on se le dise, on avait décidé de ne pas faire dormir, et de suivre ce marathon érotique ...
... qui avait lieu dans la chambre à côté. Toutes les demi-heures environ, Émeline, comme un métronome, lançait son râle de louve, puis il y avait un petit silence, et ça reprenait. À un moment, j’allumai mon portable, il était trois heures du matin. Je montrai l’écran à Michelle. « Ouah ! » chuchota-t-elle simplement. Cela faisait bien quatre heures que Manuel fourrageait dans le vagin d’Émeline. Je dis à Michelle : — Elle a de la chance, quand même !— Ça va, tu es pas mal non plus. Michelle est une femme dominante, mais pas par l’humiliation, plutôt par un « maternalisme » sexuel sympathique. Elle aimait jouer avec mon pénis, même quand il était au repos, et n’hésitait pas à se caresser ou même à se doigter pour achever son plaisir, quand j’éjaculais un peu vite. Mais je devinais ses besoins infiniment plus vastes que les capacités de mon sexe. Si, exceptionnellement, je tenais plusieurs minutes de pénétration, sa chatte s’élargissait toujours, comme si elle s’éveillait à peine, et je sentais ma verge perdue contre les parois de son vagin qui s’écartaient. On finit par s’endormir vers trois heures et demie ou quatre heures. Le lendemain, on s’éveilla agréablement, vers dix heures. Ma femme me précéda dans la douche, puis prépara un petit déjeuner copieux avec ce qu’on avait apporté de Paris. Manuel et Émeline nous rejoignirent vingt minutes plus tard. Émeline portait un tee-shirt que tendaient ses tétons, et un petit boxer. Elle s’assit et nous fit un sourire radieux et las à la ...