1. Impardonnable !


    Datte: 20/06/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail lunettes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... choisis de ne pas la lâcher du regard. Plus elle se penche et plus il m’est aisé de contempler son décolleté. À mon grand désarroi, son col n’est pas beaucoup déboutonné et mes yeux parviennent à peine à profiter de la scène. Je suis sûr qu’elle a compris mon manège. Elle aussi soutient mon regard et joue sa bille sans trop regarder le jeu. Ce coup très simple, elle le rate. — C’est pas sport de me déconcentrer Lex, rit-elle.— Tu exagères j’ai juste regardé comment tu jouais. Anne prend alors son verre et en descend une autre gorgée. Je me place contre le billard à mon tour et juste avant de jouer Anne me souffle dans l’oreille. Déstabilisé, je rate complètement mon coup et réalise une fausse queue. En tout cas, ça la fait bien rire. — Dis donc Anne, moi je t’ai juste regardé avec insistance, je ne t’ai pas soufflé dans l’oreille.— Oh la la ! le mauvais perdant, rigole-t-elle. Seulement sa phrase ne me fait pas rire. Je ne veux absolument pas tomber dans le même travers que son petit ami. Je saisis la perche qu’elle me tend pour rebondir et enfin, je sors une réplique dont je suis fier. — Non, Anne, c’est toi la mauvaise perdante. Tu es incapable de me déstabiliser autrement qu’en me soufflant dans les oreilles. C’est pas pareil !— Quoi ? s’insurge-t-elle,. C’est ce qu’on va voir ! Anne entre apparemment de bonne grâce dans mon jeu. Je sens que la situation va m’échapper, mais après tout, n’est-ce pas ce que je recherche… Anne reprend alors la bille blanche et la replace ...
    ... exactement où elle était. Elle se retourne, fait le tour du billard et se place face à moi. Puis elle me met au défi de réussir mon coup. — Je te parie la prochaine tournée que jamais tu rentres cette bille.— Ça marche, parié-je. Je remets un peu de bleu sur ma queue, je bois une gorgée de vodka et reviens au billard. Anne me fait face. Je m’avance pour jouer ce coup qui mine de rien est assez aisé, même pour moi. Quand je me penche pour jouer, Anne en fait autant. Bras tendus, elle s’appuie sur ses mains de chaque côté du trou où je compte rentrer ma bille. Elle se penche vers moi et chuchote : — Jamais tu ne la rentres ! Elle se penche un peu plus, et je remarque qu’elle a déboutonné un bouton de son chemisier. Si son chemisier est sombre, la lumière des spots se réfléchissant sur le tapis ne me prive pas d’une imprenable vue sur sa poitrine. Ses seins sont merveilleux, deux pommes prises dans un écrin de satin de cette même couleur chocolat que celle de son chemisier. Je mets bien deux bonnes secondes à relever les yeux. Anne me congratule d’un clin d’œil et répète : — Je te l’ai dit : jamais tu me la mets celle-là ! L’équivoque de cette phrase me déconcentre. J’essaie néanmoins d’aligner ma queue sur le trou pour y rentrer calmement mais sûrement cette bille. Si je la rentre, elle sera obligée d’aller plus loin. Je m’applique au mieux, mais mes yeux déjà me trahissent et replongent dans son décolleté. Anne le sait et ne bronche pas. Je me concentre sur le trou et joue mon ...
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