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Séduction délicate de la soeur de ma mère (28)
Datte: 20/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... orifice. — Mais oui tu as le droit…allez je vois que tu deviens impatiente, après je te sauterai. En posant ma main sur ses abdos bien musclés et lui caressant la peau duveteuse de son bas ventre. — Oh ce que tu peux m’énerver quand tu me parles comme ça ! …je te rappelle à tout hasard que je pourrais être ta mère…et…hann…oooh ouii… S’exclama-t-elle au moment où ma langue fit irruption dans l’entrée de son vagin. Véro, parcourue d’un énorme frisson se tendit de tout son corps et sentant la petite frangine de ma mère au bord d’une splendide jouissance, j’introduisis un, puis deux intrus dans sa fente. — Ouiii…oui…t’arrête pas. M’adjura-t-elle en lui glissant mes doigts dans son orifice, pour y tournoyer à l’intérieur. — C’est bon de te faire jouir ma belle…jouis…jouis et laisse toi aller. En léchouillant son clitoris et en amplifiant progressivement mon mouvement en elle. — Han !…hannn !…hannnn… Fit-elle au plus fort d’une jouissance peu commune, creusant son ventre, pour aussi vite regonfler sa poitrine enflammée. Que ma tante fut belle durant cet instant. Je n’avais pas la possiblité de stopper les minutes ni les secondes qui s’écoulèrent, aussi je savourai le privilège de voir se tordre de plaisir ma quadragénaire, laquelle haletait à n’en plus finir, la bouche ouverte. Puis, celle qui avait prétendu avoir l’âge requis pour être ma mère me fit les yeux doux et me caressa la pointe du menton. Une fois debout devant elle, ses yeux se baissèrent afin de contempler ma verge, ...
... la bien nommée bête à plaisir. Elle se mouva pour glisser un coussin sous son bassin et leva les jambes à la verticale, pour les écarter par la suite. Malgré les apparences ou ses réticences d’usage, j’avais dressé ma tante en une véritable machine de sexe. Certain que nous avions une attirance hors norme, je restais persuadé que notre consanguinité y était pour quelque chose. Une chose me tracassait quant à son propre désir. Dans son subconscient, elle reprenait une sorte d’ascendant sur sa grande soeur en poursuivant ses relations intimes avec le fils de celle-ci, moi. Malheureusement, elle ne parvenait pas à lui tenir la dragée haute en face à face et je l’avais remarquée à maintes reprises. En fait, elle se reposait sur moi, cela me paraissant bien légitime, puisqu’elle me considérait comme son homme. Malgré elle, il lui arrivait de me materner en usurpant un statut de mère et à contrario, elle s’infantilisait dans les situations la fragilisant. Bref, Véro était plus que mûre pour un coit et lorsqu’elle prononça ces quelques mots, elle ne fit que renforcer ce sentiment. — Patrick…viens…viens baiser la petite frangine…viens mon neveu à moi. Dit-elle, les yeux fixés dans les miens avec ses doigts écartant son sexe. — Oh la vache ! Toi t’as envie de te faire baiser ! …bah dis donc ! M’exclamai-je à la vue de cette position purement obscène, voire dépravée qu’elle m’offrait. — Oh on s’en fout…viens me sauter… Me rétorqua-t-elle, proche d’un état second et dans l’attente de me ...