1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (28)


    Datte: 20/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... reçevoir. Mon sexe lécha ses parois roses et Véro poussa un soupir de satisfaction quand il entra progressivement en elle. J’en avais rêvé et je le faisais. Je baisais ma tante à mon rythme en rentrant à fond dans ses chairs, pour lui arracher un petit cri aigu, puis je me retirais, le tout en lui roulant une pelle. Dans ce va et vient paresseux et hautement érotique, Véro me regardait avec ses yeux de biche et les fermait à chaque nouvelle pénétration. Personnellement, j’adorais la sauter de cette manière, assimilant ce style à un véritable acte d’amour et estimant pleinement profiter de tous les charmes de ma quadra resplendissante. — Tu aimes comme ça ? Avec ma longue verge parcourant sans relâche son orifice, toujours plus accueillant au gré d’allers-retours lancinants. — J’adore…j’adore te regarder en train de me baiser, en plus tu es si beau…embrasse-moi. En parcourant mon dos avec ses mains, pour les plaquer sur mes fesses. — Véro…je crois que nous sommes faits l’un pour l’autre…ca n’est plus un plaisir de te sauter, c’est une évidence avec toi. Lui déclarai-je en l’embrassant à nouveau. — Oui…c’est pareil pour moi…han comme je me sens proche de toi, c’est dingue ! …continue doucement, c’est si bon comme ça. Rajouta-t-elle en placant ses jambes sur mes épaules. Cette fois le temps s’arrêta. Avec un coussin sous son bassin et ses formidables guiboles levées, je pénétrais ma tante à tout-va, rentrant profondément en elle pour m’en échapper, avec le plaisir de savoir que ...
    ... j’allais y retourner. Elle aimait cette nouvelle façon de se faire sauter. Pour preuve, elle avait gardé ses mains plaquées sur mes fesses et ne m’encourageait pas à forcer l’allure. Je l’entendais gémir mon rêve à chaque que je voyageais en elle, toujours plus loin et en me rapprochant du but, de l’assaut final en quelque sorte. Mon sexe prit les commandes de mon corps, sans rien pouvoir y faire. Ma blonde aux mèches rebelles enlaça ses jambes autour de mes hanches et ainsi, se prépara à la fin de notre étreinte. Mon dieu qu’elle fut belle en pleine jouissance, s’aggripant amoureusement à mon corps agité avec les yeux clos et la bouche ouverte. Malgré mes coups brutaux, Véro ne se laissa pas emporter dans une frénésie autant verbale que physique. Elle reçut avec tendresse le fruit de ma passion débordante envers elle et ne s’y trompa pas. — Oui…oui c’était bon…tu es si doux, si fort…hann Patrick ! …tu vas finir par me rendre folle… En me serrant contre elle, entre ses cuisses, entre ses bras et en plongeant sa lèvre dans ma bouche. — C’est génial avec toi… Lui murmurai-je entre deux baisers. — Oui…et c’est encore plus génial quand c’est en famille…c’est un peu entre toi et moi… M’avoua-t-elle en pleine euphorie, son corps tendu contre le mien. — Dis-moi ce que tu ressens en ce moment…c’est fusionnel, pas vrai ? En continuant de la limer en mode ralenti, mon sexe baignant dans sa source généreuse. — Bah…je dois avouer que c’est pas pareil quand c’est toi…euh…et ça…ça m’excite ...