13 déclics pour une nouvelle vie (1)
Datte: 21/06/2020,
Catégories:
Transexuels
... suis à mon bureau en open space, je reçois un texto. C’est Christian : « Dispo ? » C’est fou l’effet qu’un seul mot peut produire. J’ai dû rougir en une demi-seconde. Je me sens tout brûlant. J’ai peur. Allez je me lance ! « Oui, ce soir, à l’hôtel ». Je lui donne l’adresse et le numéro de chambre. Il viendra à 18h30. Je l’attends dans ma chambre. Je ne sais pas quoi faire. Tout va trop vite. Il est trop tard, il arrive. On frappe à la porte… Trois coups viennent de retentir sur la porte de ma chambre d’hôtel. Je peux encore me raviser, faire le mort, je ne sais pas… J’ai peur ! Mais j’ai besoin de réponses. Est-ce que je suis vraiment fait pour ça ? Je ne veux pas reculer si près de l’occasion. J’ouvre. Effectivement, un beau quadra se tient face à moi. Cheveux courts, bruns grisonnants, barbe de trois jours. A première vue, je dirais entre 1m80 et 1m85. Difficile par contre d’estimer son poids, mais il est certain qu’il a une silhouette assez sportive. « Bonjour Arnaud, me dit-il d’une voix pleine d’assurance, tout en entrant dans la chambre. — Bonjour, entrez. Vous savez, je ne suis pas sûr de… — Ne dis pas de bêtises que tu pourrais regretter, me coupe-t-il sèchement. Tu es vraiment grande dis-donc ! Mets-toi à hauteur convenable ! » Et il me pousse sur le lit. Je me retrouve assis, lui debout quelques centimètres devant moi. Il me fixe, mais je fuis son regard. A cet instant, je veux qu’il parte. Mon cœur bat très fort et j’ai la respiration saccadée. Je me sens très ...
... mal. Il commence à passer sa main droite dans mes cheveux. C’est incroyable comme il a de grosses mains. J’ai l’impression qu’il pourrait m’écraser le crâne d’une seule main. Sa main descend et il me caresse la joue droite, avec le revers de ses doigts, lentement… avant soudainement de me saisir le visage, ou plutôt la mâchoire, exerçant une pression monstrueuse de son pouce sur ma joue droite, et de ses doigts sur ma joue gauche. Il me relève la tête et pour la première fois, je ne peux faire autrement que de le regarder dans les yeux. Je sens un mélange de puissance et de perversité dans son regard. Tel un lion qui joue avec la peur de sa proie, avant de se jeter dessus. « Ce sont des larmes que je vois ?… très bien petite pute. Tu regrettes d’en être arrivée là, mais la vérité, c’est que tu peux toujours dire non. Alors dis-le et je sors. — J’aimerais que vous sortiez. Je suis désolé. — Ok je sors, mais comme j’ai fait le déplacement pour rien, j’aimerais quand-même que tu te mettes à 4 pattes devant moi. » Je n’ose pas lui refuser, et puis ça n’engage à rien. Pour qu’il parte au plus vite, j’essaie de rapidement lui donner ce qu’il veut. Je me retourne et me cambre, présentant mes fesses à son regard lubrique. J’ondule un peu. Même si je suis en short et T-shirt, rien de bien sexy, je pense qu’il devrait en avoir assez et me laisser. Je me retourne vers lui, toujours à 4 pattes sur le lit et là, stupeur ! Il a profité des quelques secondes où je lui tournais le dos pour ...