1. La folie du pleutre 10


    Datte: 04/10/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- La semaine qui suivit, j’ai trouvé Marion très attentionnée à mon égard. Nous avons fait l’amour pratiquement tous les soirs et même un matin juste avant qu’elle ne parte à son travail. C'était redevenu le grand amour. Je me suis aperçu cependant qu'elle était différente et que son implication dans l'accouplement était plus intense, plus libéré. Incontestablement son passage dans la boutique l'a transformée et je suis le seul à en profiter. C'est le bonheur ! J'oublie lentement le choc de ce samedi et je me reprends à l'aimer assez pour redevenir esclave de cet amour. Je désire plus que tout lui donner cet enfant qui scellerait notre amour par un lien inextricable. Et là Monsieur David n'existera plus. Enfin presque. Dans nos étreintes je ne pouvais empêcher certaines images de resurgir. Marion dans les bras de Monsieur David plaquée contre lui, face au miroir une main sur un sein et l'autre sur son pubis qui fouille la chatte de ma belle. J'entends encore les gargouillis, le clapotis des doigts battant la mouille dans le vagin de ma chérie. Ou encore sur ses lèvres le goût du baiser séché de l'autre. Mais vite la joie de l'avoir pour moi seul prend le dessus et nous jouissons tous les deux dans une même extase. Marion est aujourd’hui assistante de direction dans une grande entreprise. Il lui arrive de faire le samedi des heures supplémentaires. Mais très rarement. Elle porte souvent avec plaisir les vêtements offerts, ...
    ... n’en finissant pas de louer ma gentillesse de lui avoir offert cette première robe. Plusieurs fois je la surprends se regardant dans le miroir de la chambre. Elle tourne sur elle-même comme pour apprécier ses formes. Encore une fois je ne la reconnais plus et je retrouve l'influence de Monsieur David. Ce matin en partant, juste sur le pas de la porte, elle m’annonce qu’elle est sollicitée par son patron pour samedi prochain afin de finaliser un dossier très important. Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle a claqué la porte. Au ton de sa voix je sens le mensonge. Son assurance forcée pour me l’annoncer prouve son trouble. Et ce départ rapide pour ne pas avoir à donner des explications qui pourraient être embarrassantes ! Alors je ne peux pas m'empêcher de repenser à ce dernier samedi de folie. Et soudain je repense au geste de Monsieur David au moment de notre départ de la boutique. J'ai parfaitement vu qu'il glissait ce que j'ai pris pour une carte de visite dans la poche de sa veste. Il est facile d'imaginer qu'il lui donnait son numéro de téléphone. Le doute s'installe d'un seul coup. La jalousie encadrée par une forte excitation m'envahit. Dire que je m'étais un instant senti indifférent, à la suite de son abandon si rapide dans les bras, de cet ignoble individu ! Je décide de ne rien faire paraître. Le vendredi alors en pleine réunion je reçois un SMS, qui cette fois encore ne m'était pas destiné. Il émane bien sûr du sieur David. "Demain 18 heures à la boutique" Je reçois ...
«1234...7»