La folie du pleutre 10
Datte: 04/10/2017,
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Dans la zone rouge,
... vais te montrer ton poste d'observation. Et surtout je ne veux aucune manifestation de ta part. Le salaud, quel mépris pour la gent féminine ! Et pour ma Marion ! Ce type ne respecte rien ni personne et je lui ai livré ma femme. Je suis seul derrière la glace sans tain, dans le noir, assis dans un fauteuil. Sur une table basse devant moi, des bouteilles de bon vin, du whisky et des verres. J’imagine que ce déploiement de luxe est destiné aux spectateurs des défilés de mode spéciaux organisés par Monsieur David pour ses amis. A 18h précises, elle arrive toute timide et rougissante. J'ai une vue parfaite de la scène. Comme elle est belle et désirable perchée sur les talons qui allongent sa silhouette. Pas de culotte, c’est net ! Semblant de courtoisie, il lui ôte sa veste. Il la fait tourner en la tenant d'une main en l'air, comme une poupée automate. Je vois son regard se poser sur sa croupe, et confirmer qu'elle est cul nu. Elle est femme objet, sans âme, sans volonté et qui pour moi a perdu toute dignité. Et tout ça pour le sexe. Elle est sur la pente de la débauche. Mais comment puis-je oser la juger, moi qui l'ai emmenée ici. Elle sourit maintenant, toute timidité disparue. La jalousie me submerge car elle semble éprise sentimentalement, amoureuse de ce monstre. Il la prend dans ses bras, elle a les yeux fermés le visage levé ver lui. Doucement il lui prend les lèvres qu'elle tend comme offrande. Il a glissé une main entre leurs deux corps et remonte le devant de la robe ...
... pour atteindre le sexe qui réclame les caresses. J'ai déjà sorti ma bite et doucement je me branle. Il se met de profil pour que je puisse bien voir qu'elle l'embrasse maintenant pleine bouche. J'entends aussi distinctement ses gémissements. Le salaud ne se gêne pas, il la retourne face au miroir et fait tomber la robe. Il me la montre, nue, comme l’autre jour à ses complices. Elle a l’air si fragile ! Une main englobe un sein tandis que l'autre se pose sur son sexe. Je contemple ahuri le doigt qui pénètre le sexe de ma bien aimée. Comme l'autre jour, il prend possession de son intimité, de NOTRE intimité. Intimité qu'elle laisse violer par le doigt de cet inconnu. Je ressens comme un profond dégoût en cet instant. Ma femme ne m'appartient plus. En la pénétrant simplement d'un doigt il me prend, me vole son âme, son cœur. Je me mets à pleurer. Je perds tout, mais je continue à mater, voyeur pervers. Elle lève son bras et passe sa main derrière la nuque de son amant et l'attire à elle. Tournant la tête elle recherche sa bouche pour un nouveau baiser. Le doigt qui la viole ressort chargé de mouille et à nouveau ce bruit, ce gargouillis qui me rend fou… Sa respiration s'accélère au rythme de sa poitrine que se lève offrant ses seins blancs à ma vue. Ma femme s'abandonne. C'est elle maintenant qui glisse une main entre les deux corps et qui caresse la bosse visible sur le pantalon. La semaine dernière elle avait refusé de le toucher, aujourd'hui c'est elle qui va au devant de ce ...