1. Une fraise à la bouche PARTIE 1 De Floriane


    Datte: 21/06/2020, Catégories: ff, couple, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, BDSM / Fétichisme Oral préservati, fdanus, jeu, aliments, attache, yeuxbandés, glaçon,

    ... battait sourdement. Elle était un puits de vie sans fond. Elle sentait la sueur et le parfum. Elle s’allongea lentement sur le dos et je posai sa longue écharpe violette sur ses yeux, passant le tissu derrière sa tête. Elle se laissa faire et bientôt elle se retrouva les yeux bandés par le doux tissu en coton. Elle riait, découvrant ses parfaites dents blanches en retroussant les lèvres. Je lui léchai les dents. Mes longs cheveux blonds cendrés s’étalèrent sur son visage. Je pris une mèche parmi eux pour titiller sa peau. J’avais les cheveux raides et terriblement épais. Pauline s’en réjouissait souvent, me disant préférer leur raideur incroyable à la douceur exquise des siens. Je m’amusai de l’idée de lui avoir bandé les yeux, regrettant toutefois qu’il me faille cacher la couleur marron métallisé de ses iris pour ce petit jeu. Saisissant fermement ses poignets délicats, j’attirai ses mains à moi et entrepris alors de nouer les jambes de son pantalon noir autour. Lorsque ce fut fait, j’écartai ses bras, découvrant leur face interne à la peau tellement douce. Je nouai le reste du pantalon à la tête de lit en bois exotique. Pauline se laissait faire avec des gémissements plaintifs sans opposer la moindre résistance, elle souriait toujours avec un calme déconcertant. Elle ne pouvait pas se détacher seule. J’avais pris garde à ne pas trop serrer, ne désirant pas lui faire mal. Je voulais juste entraver ses mouvements, la capturer pour la soumettre à mes offrandes et pour ...
    ... l’offrir totalement à ses propres désirs. A présent c’était réussi, je l’avais capturée. Avec douceur et tendresse elle était prisonnière. Elle aurait pu agiter les jambes pour se débattre mais je savais qu’elle ne le ferait pas. L’important était qu’elle ne puisse pas saisir mes mains ni me voir. Je lui fis pendant quelques minutes d’incroyables caresses du bout des doigts. Attardant la pulpe de ceux-ci sur la chair de Pauline. Comme j’avais entravé ses bras, j’avais accès à leur face interne à plaisir. Elle était beaucoup plus douce que le dessus. Sur le dessus des bras, on trouve toujours une fine toison, brune pour Pauline, blonde pour moi. De minuscules poils qui se dressent avec le froid et piquent doucement les lèvres. La face interne au contraire n’est que chair tendre, malléable et délicieusement brûlante. Si l’on y appuie la main, la peau se creuse d’un petit sillon circulaire qui redevient parfaitement lisse lorsqu’on relâche la pression. La chair fond entre les lèvres lorsqu’on lui offre un baiser. Pauline n’était pas particulièrement musclée mais possédait, comme toutes les femmes, des bras adorablement formés, un peu épais. Je sentais à chaque frôlement, une réaction imperceptible de Pauline. Elle ne bougeait pourtant pas beaucoup. Je continuai les caresses, enfonçant fortement les doigts dans la peau puis tout doucement. Je parcourus ainsi les deux bras et avant-bras de ma compagne. J’arrivai à ses mains. Des mains aux longs doigts fins. Ses ongles étaient très ...
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