1. Une fraise à la bouche PARTIE 1 De Floriane


    Datte: 21/06/2020, Catégories: ff, couple, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, BDSM / Fétichisme Oral préservati, fdanus, jeu, aliments, attache, yeuxbandés, glaçon,

    ... blancs, ovales en leur bout et parfaitement limés. La chair de la paume était épaisse, le dessus très fin laissant apparaître les traces bleutées de ses veines. Sa main gauche avait, dans le creux du pouce, une petite tache plus claire. J’attardai ma langue sur celle-ci, maculant sa chair de ma salive. Ensuite, je happai chacun de ses doigts. Pour la main gauche, phalange par phalange, ils disparurent dans ma bouche. Pour la main droite je les glissai deux par deux entre mes lèvres. Mordillant les pouces entre mes incisives, léchant chaque ongle avec une lenteur agaçante. Elle suivait le mouvement de ma bouche, prolongeant à volonté les actes que je menais. Lorsqu’elle voulait, elle laissait un doigt plus longuement sur la chair râpeuse de ma langue, s’attardant sur mes lèvres à sa sortie. Elle retroussait ma lèvre inférieure, pinçait celle d’au-dessus. Mon ventre gonflait de plaisir à chaque instant. Les larmes envahissaient mes yeux lentement. J’abandonnai ses mains qui retombèrent inertes sur le matelas. Je parcourus ses épaules avec ma bouche. Puis de nouveau ses bras, plus rapidement. Elle avait eu les doigts à ma première exploration, elle subissait la bouche maintenant. Pauline émettait un son rauque avec sa gorge ainsi qu’un léger souffle ample et profond. Je la sentais se crisper à chaque minute qui passait. Je plongeai mon visage dans le creux de son aisselle. Sa peau était vallonnée de la multitude des petits orifices où poussaient les poils. Un champ alternant ...
    ... petites montagnes et vallées. Elle était rasée. Aucun poil n’avait eu le temps de pousser. Je pris entre mes dents la chair qui se décollait de l’os dans un pli succulent. La malléabilité de cet endroit humide m’épatait toujours. Elle sentait légèrement la sueur, odeur âcre et piquante. Son goût était salé, mélange de transpiration et du déodorant à l’abricot que nous portions toutes les deux depuis le matin. A cet instant délicat qui consistait à relâcher sa peau sans lui faire mal, je constatai avec surprise et délice que ma culotte blanche était humide. Ma main droite s’aventura à son niveau et constata que le tissu s’imbibait de mon désir. Cette même main se posa sur la culotte de Pauline. Mon cœur s’emballa en constatant que le résultat était le même. Le pli de son aine était humide et légèrement glissant de sueur. Je revins embrasser sa gorge, bien décidée à parcourir tout son corps de cette façon, en espérant qu’elle ne subisse pas un orgasme, plus psychique que physique, avant que mon aventure soit terminée. La peau de son cou était étrangement ferme. Elle se plissait entre mes lèvres et retrouvait aussitôt sa place, marquée d’une petite trace en demi-lune, carte de visite de mes incisives. Tous nos échanges se passaient sans un mot. Elle respirait vite, puis lentement, m’offrant sa poitrine qui se gonflait et s’affaissait. Je mordis la zone de sa carotide droite. Je collai ma langue contre son artère, la comprimant ainsi fortement. Je sentais battre son pouls dans ma ...
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