Une fraise à la bouche PARTIE 1 De Floriane
Datte: 21/06/2020,
Catégories:
ff,
couple,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
fdanus,
jeu,
aliments,
attache,
yeuxbandés,
glaçon,
... ses chairs rosées, introduisant l’instrument entre elles. Heurtant ses incisives, ressortant le métal humide de sa bouche et recommençant encore et encore pour la faire frissonner. Elle fini par me dire « Floriane, je ne peux pas, ça me rend dingue, je t’en supplie petite peste, délivre-moi ou donne moi ta main entre mes cuisses. Franchement je vais défaillir ! » Elle agitait les jambes, tanguant dangereusement. Je vins m’allonger sur elle pour l’amadouer un peu lui offrant des rivières de baisers intenses. Le citron coula sur ses lèvres quand je le pressai. Elle s’agita et recracha le liquide acide en riant. Tout ce qui coulait sur son menton se retrouvait dans ma bouche l’instant d’après. Je pressai le fruit jusqu’à plus rien sur son visage. Elle tressautait sur le lit, essayant d’arracher ses liens en vociférant mon prénom avec une pointe de reproche. Je dégrafai son soutien-gorge, insensible à ses supplications « Caresse-moi le sexe ! ». Je posai un glaçon sur le téton de son sein droit. Elle cria « Oh ! », c’était inattendu. Le mamelon se crispa, durcit. Je posai un second glaçon sur son sein gauche. La glace fondait rapidement. Pauline poussait des jappements, m’offrant son bassin, s’arc-boutant vers le plafond comme une folle. Je cessai toute stimulation pendant quelques secondes et fit courir le coton déchiré sur ses seins, enveloppant ses tétons avec la douce plante blanche. Je retirai sa culotte, elle tenta de m’emprisonner le cou avec ses jambes. Elle respirait ...
... vite. Son sexe luisait, ses poils noirs collés s’agglutinaient anarchiquement. Elle poussa des râles que je n’avais jamais entendus jusqu’alors, lorsque j’écartai ses grandes lèvres doucement. Sa muqueuse rosée palpitait. Sa vulve était moite, inondée de ses fluides. Elle avait en ce moment ses règles et de légères traces de sang barbouillaient sa peau par endroit. Son clitoris était dressé, délivré de sa petite cupule de peau. Elle s’agitait, tirant ses liens avec force. Je décidai de faire couler l’huile tiède sur son ventre. Elle poussa un nouveau cri « Aahh, Floriane ça suffit ! T’as encore combien de choses ? J’en peux plus, tu veux me faire mourir, je veux que tu me caresses ! » Quand une rigole d’huile coula dans son nombril elle poussa un nouveau râle et me dit à ma grande surprise « J’ai joui, désolée ». Elle s’agita convulsivement comme pour confirmer ses dires. J’en fus à la fois heureuse et désolée. Pendant quelques minutes elle n’émit plus un son. Je cessai mes caresses ne posant plus que mes mains à plat sur son ventre sans vraiment appuyer. Je répétais des mots tendres en écoutant sa respiration se calmer. Elle me demanda de la délivrer mais je fis durer le jeu encore quelques minutes. Je versai le reste d’huile sur les poils de son sexe et le liquide épais s’écoula en elle. Elle poussa une multitude de cris envoûtants, m’expliqua avec hardiesse en raison de son état que « C’était bon, c’était bon, Floriane, c’est quoi, refais-moi ça ! » Je n’avais plus d’huile. ...