1. Entrées


    Datte: 22/06/2020, Catégories: fhh, couleurs, inconnu, grossexe, vacances, forêt, fsoumise, soubrette, strip, préservati, Partouze / Groupe fsodo, sm, attache, baillon, yeuxbandés,

    ... Chloé qui somnole encore. — Chérie, tu m’as fait le plus beau des cadeaux. Je voudrais te gâter, allons faire les boutiques. Il paraît qu’un nouveau magasin vient d’ouvrir à Bordeaux. Le mot boutique est un mot magique. Une heure après, elle est prête et lorsque je sors la voiture elle arrive, avec Awa. — Chéri, j’ai invité Awa. Tiens donc, le pardon s’étend à la maîtresse. Parfait. Pendant tout le trajet, elles ont bavardé comme de vieilles copines. C’est dans la zone industrielle qu’elles m’ont demandé si je ne m’étais pas trompé. Le parking est bien occupé. L’enseigne « Toi et Moi » est neutre et c’est seulement à l’intérieur qu’elles découvrent la véritable raison sociale de cet entrepôt gigantesque où les clients déambulent, poussant de drôles de caddies. Dans les rayons, que du bonheur. Enfin je veux dire, tout ce qu’il faut pour faire le bonheur, de la femme, de l’homme, du couple. C’est un sex-shop où manifestement tout ce que l’on peut désirer ou imaginer est en vente et disponible dans ses rangées, dignes d’un supermarché. J’abandonne les filles dans le rayon lingerie. Elles s’amusent comme des folles à la vue des mannequins revêtus, plutôt dévêtus par des tissus élégants ou provocateurs. De mon côté je me dirige dans le rayon bondage et accessoires sadomaso. C’est à la caisse que les filles ont découvert ce que j’avais acheté. Devant leur surprise, j’ai juste ajouté : — J’ai tout pris en double, on ne sait jamais. Vous avez fait la même chose ? Pendant le voyage ...
    ... du retour, j’ai eu le plus grand mal à regarder la route. Elles se sont amusées à tout sortir des emballages. Awa que je croyais la plus délurée et experte s’est révélée innocente devant ces pratiques. En tout cas, et c’est le plus important, aucune ne s’est offusquée. Nous arrivons trop tard à la maison pour que je puisse espérer une partie à trois. Le lendemain, Chloé et moi jouons avec nos nouveaux jouets, plus exactement nous regardons comment nous en servir. Bien sûr, il n’est pas nécessaire de sortir de polytechnique pour savoir se servir de menottes, de liens ou de bandeaux. Mais c’est un monde où le fantasme est roi. Nous passons des heures sur internet. Il suffit de taper « exhibition publique, disgrâce » et le nombre de sites est infini. Cela va de la femme qui se fait filmer, la poitrine à l’air, en voiture, dans la rue, dans un supermarché, aux scènes les plus incroyables de bondage, de sadomaso où des femmes et des hommes sont livrés à des « Maîtres-maîtresses » qui leurs font subir toutes sortes de sévices. Ce n’est pas à mettre entre toutes les mains. Ce qui rassure c’est qu’à chaque fois, la soumise fait part de ses sensations, à la fin de la vidéo. Bien sûr, il n’est pas question que nous allions si loin. Mais l’aventure Sounou paraît presque de l’enfantillage. Notre première expérience se déroule très bien. Des menottes et un bandeau rendent ma femme réceptive à mes caresses, même les plus douces. Aucune violence, physique ou verbale ne sont nécessaires pour ...
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