1. spermissions


    Datte: 22/06/2020, Catégories: Gay

    Mes voyages de Spermissions(Première partie) En cette fin d’après-midi du mois de juin 1965, je suis sur le quai de la gare en tenue militaire. J’attends mon train qui doit m’emporter à la caserne. Je sais que j’en ai pour 9 heures de voyage. J’aime bien ces trains qui disposent de compartiments à six places avec sa grande fenêtre où défile le paysage, sa porte et petites fenêtres protégées par des rideaux qui donnent sur un long couloir très étroit avec les portes d’accès et des toilettes à chaque extrémités. Je sens quelqu’un qui me tape sur l’épaule, je me retourne et voit un gars. Il me dit :- Salut ! je vois que tu es en costume de marin, et je dois être incorporé dans la marine. Où vas-tu ?- Salut, je vais à Toulon.- Moi aussi. On peut faire le voyage ensembles.Nous avons fait le voyage ensembles, bien que j’eusse préféré voyager seul, ce qui me permet de rencontrer du monde.La suite de l’histoire ne m’a pas fait regretter de voyager avec lui.Bien que nous ne soyons pas dans le même régiment, nous nous voyions de temps en temps et fait quelques voyages de permissions ensembles, ce qui nous avait mis en confiance et nous raconter nos voyages indépendamment l’un de l’autre.J’ai commencé par lui raconter les avantages de l’étroitesse du couloir. J’ai découvert cela, alors que j’étais accoudé à regarder le paysage défiler. Les voyageurs qui voulaient aller à un bout du couloir devaient croiser ceux qui ne bougeaient pas. Bien que m’écrasant pour faciliter le passage, les ...
    ... corps se touchaient. Je pouvais sentir parfois les braguettes sur mes fesses, les seins sur mon dos, ou bien en me plaquant côté compartiment, sentir les fesses des autres, voire, si nous étions face à face braguettes contre braguettes. J’eus parfois l’impression que certaines étaient bien remplies, gonflées.Me rendant compte des avantages que je pouvais en retirer, je décidais de ne plus mettre de slip sous mon pantalon. Le copain me dit :- en ce moment tu ne portes rien sous ton pantalon ?- non rien du tout.- putain, tu es gonflé !- non pas encore.En effet, mon stratagème marchait bien. Lorsqu’un voyageur passait juste, que je sentais son paquet sur mes fesses, cela me faisait bander, et selon le passager qui devait me croiser, je le laissais passer devant ou derrière. Il y en a qui mettaient du temps à passer lorsqu’ils sentaient ma bite bandée glisser sur leur braguette.Mon copain écoutait avec attention mon récit.Je lui racontais une aventure qui m’est arrivée lors d’un voyage. J’étais dans le couloir qui était désespérément désert, lorsque sortit d’un compartiment un gars que je dévisageais immédiatement comme sportif vu comme son polo épousait son torse dessinant ses pectoraux et ses tétons. Le col ouvert découvrait une toison blonde et importante. Son pantalon blanc était parfaitement ajusté.Je commençais à imaginer, ses poils recouvrant son poitrail, un filet de poils descendant vers le nombril avant d’atteindre le pubis pour entourer – peut-être – un pénis recouvert ...
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