1. spermissions


    Datte: 22/06/2020, Catégories: Gay

    ... colle sur mon ventre. Le mot « se faire pomper » n’est là aussi pas galvaudé. Il avait posé ses mains sur mes fesses rythmant les mouvements de va et vient. Ma queue entièrement dans sa bouche, il la pompait. J’avais l’impression qu’il voulait l’avaler, tout comme il s’occupait de mon gland qu’il aspirait comme avec une paille comme s’il voulait boire mon sirop de corps d’homme. Avec un tel traitement, je ne pouvais résister longtemps. Je veux me retire pour jouir. Il s’en rend compte. Ses mains appuient sur mes fesses pour m’empêcher de reculer. Je ne gâche pas mon plaisir de lâcher plusieurs jets de sperme dans sa gorge qu’il avale comme un goinfre. Il n’en perd pas une goutte, nettoie parfaitement ma bite. Une fois terminé, il regagne sa place, s’endort pour de bon. En me rhabillant, je constate au sol qu’il s’était branlé. A mon tour je m’endors apaisé. En me réveillant au petit matin, il avait disparu.- tu es sur de ne pas avoir rêvé ?- J’en suis sur, avec l’état de ma bite et le cul encore humide !- putain ! quel voyage ! je n’ai jamais fait un tel parcours. Tu l’as revu une autre fois ?- oui, mais je ne suis pas entré dans son compartiment.- J’ai une telle gaule qu’il faut que je me branle.Mon pote est rentré dans le compartiment. Je l’ai suivi pour en faire autant. Le temps que je verrouille la porte, il avait déjà ôté sa marinière, descendu son fute. Sa bite était semblable à la mienne, bien droite, ni trop longue, ni trop grosse, avec une toison pubienne plus ...
    ... fournie que la mienne.Je baisse mon pantalon, enlève aussi ma marinière, m’assoies à ses côtés. Nous nous masturbons de concert. Après quelques minutes de branle, je propose de se branler mutuellement. Je saisis sa queue, commence lentement un va et vient, décalottant avec délicatesse le plus possible son gland très esthétique, avec cette collerette bien dessiné. Ma prestation le détend, il repose sa tête sur le dossier, ferme les yeux pour mieux apprécier. J’approche ma bouche, touche son gland de mes lèvres. Il se raidit, sans me refuser. J’enfourne sa verge avec délectation. Je monte, et descends le long de ce délicieux sucre d’orge. Je le quitte quelques instants pour m’occuper de ses bourses qui au contraire des miennes sont pendantes. Je les gobe une par une, je remonte le long de sa verge, fait le tour de son gland avec ma langue que je durcis pour la pointer dans son urètre, le remettre en bouche pour le téter, engloutir entièrement cette queue aussi dur qu’un bâton, le pomper comme l’a fait le gros type. Lui non plus ne résiste pas longtemps. Il se raidit, me cri :- vite je vais jouir !Il a juste le temps de se retirer, je reçois en plein visage plusieurs jets de son foutre tiède et visqueux. Il s’excuse de m’avoir laissé seul pour me branler, de m’avoir aspergé de son sperme. Après m’avoir essuyé avec sa serviette, il a déposé un baiser sur mes lèvres comme pour se faire pardonner.Je l’ai rassuré en lui disant que j’avais pris beaucoup de plaisir aussi.A suivre ……………..Mes ...
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