1. Les surprises du Vicomte


    Datte: 22/06/2020, Catégories: fh, ff, couple, Oral fgode, pénétratio, fsodo, init, historique,

    ... dégage son bouton pour le titiller et s’enfonce parfois jusqu’à trois doigts dans la chatte. Sa patronne observe longuement, ne trouve rien à redire et commence à sortir le gode improvisé, avant de rentrer, de le tourner, de l’agiter, de le sortir et l’enfourner à nouveau. Après quelques minutes de ce traitement énergique, Anaïs voit sa bonne frémir et entend sa respiration s’accélérer. Elle pense qu’elle a assez fait durer, que sa bonne doit commencer à fatiguer et qu’il va être temps d’arrêter. À sa surprise, Marguerite qui s’astique toujours ardemment la moule, se met à onduler de la croupe et haleter bruyamment, lâchant de temps à autre un gémissement où visiblement la douleur ne point en rien. Ce que voyant, la marquise poursuit son ferme ramonage. L’autre finit, vibrant de tout son être, par prendre son pied en émettant un son de gorge profond des plus curieux. Anaïs retire alors le manche complètement. La domestique se redresse lentement, les jambes un peu molles et se retourne le visage rouge vers sa maîtresse qui lui dit : — Eh bien Marguerite ! Je vois que tu as pleinement profité et même apprécié cette nouvelle expérience que j’ai voulu te faire partager.— Je remercie Madame de ses bontés pour moi.— Ne me remercie pas. Tu sais combien j’apprécie ton service, ce sera tout pour aujourd’hui. Tu peux te retirer, et nettoie ça, dit-elle en tendant le fouet. Marguerite s’en empare, ramasse ses affaires et s’éclipse sans prendre le temps de se vêtir, comme si elle avait ...
    ... le feu aux fesses. Ce qu’elle a d’ailleurs. Madame de Pierrenoire glisse à Monsieur de Sombreuil : — La drôlesse a apprécié.— Vous voyez que l’on peut y prendre plaisir. La marquise qui n’en a éprouvé aucun, préfère changer de sujet. Son cul, suite au traitement de l’après-midi, la brûle encore. Elle ne veut pas risquer que son amant revienne y planter son dard. Elle se demande comment Marguerite a pu prendre du plaisir de la sorte. Après avoir conversé, de sujet moins brûlant, quelque temps encore, Charles prend congé. Le lendemain, il va saluer l’amiral qui va rejoindre la flotte. Ce dernier lui propose de venir occuper sa loge à l’opéra pour la représentation du surlendemain. Charles qui apprécie la musique accepte avec chaleur. Le premier acte va commencer, quand il entend quelqu’un s’installer derrière lui. Il se retourne pour se retrouver en face de Claire de Villerutay. Il va pour saluer. Elle tourne la tête en l’ignorant. Il se rassoit penaud. Il songe même un instant à se retirer. Il se ravise, la scène n’est pas passée inaperçue. Partir serait comme se reconnaître coupable et perdre la face. Durant le second acte, il sursaute presque en entendant Claire murmurer à son oreille : — Charles ne vous retournez pas et écoutez. Il obéit. Elle lui donne rendez-vous le lendemain soir dans l’hôtel de Villerutay et lemodus operandi pour y parvenir. Quand l’opéra s’achève, la jeune femme part sans lui adresser un regard, le laissant perplexe. Le lendemain, le vice-amiral quitte ...
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