1. Les surprises du Vicomte


    Datte: 22/06/2020, Catégories: fh, ff, couple, Oral fgode, pénétratio, fsodo, init, historique,

    ... partie de l’anatomie du subordonné de son père qui présentement l’intéresse, celle-ci est à demi dressée. Se trouvant à bonne hauteur, elle s’en empare et l’embrasse. Voyant que, sous l’effet de petits bisous, cela se lève rapidement, elle poursuit. Petits bisous deviennent gros et insistants. Elle finit par coller ses lèvres au gland et se met à le flatter de la langue, et tout naturellement poursuit en l’accueillant dans sa bouche de plus en plus profondément au grès de ses navettes le long de la hampe. Bien qu’ayant fini d’ôter le haut il la laisse un moment œuvrer avant de la relever. Il finit de retirer le bas et l’entraîne ou la suit vers le lit, on ne sait trop. Elle s’y laisse choir jambes pendantes. Il la rejoint sur le lit. Ils se perdent dans un nouveau baiser, durant lequel il flatte la poitrine de son amie. Quand leurs bouches se séparent, il va embrasser les seins palpitants. Les attaches d’abord, puis il se rapproche progressivement des pointes, les suce, les mordille, s’y attarde quelque peu, avant de descendre doucement vers le ventre pour arriver au mont de Vénus et finir sur la vulve. Il disjoint les genoux de Claire, exposant sa féminité. La jeune femme, d’avoir son intimité ainsi offerte pour la première fois, ressent un mélange d’excitation et de délicieuse gêne. C’est la satisfaction qui l’emporte quand Charles décolle ses lèvres de la langue et va débusquer le bouton sensible qu’elle a si souvent cajolé en pensant à lui. Aujourd’hui, c’est lui qui ...
    ... s’en occupe et c’est… hum… délicieux. Il sait s’y prendre. Une pointe de jalousie l’effleure en pensant que c’est avec la marquise qu’il a dû se perfectionner, mais après tout, peu lui importe, puisque présentement c’est elle qui profite de ce talent. Son corps est embrasé. De son côté, malgré les déclarations et le prompt dénudement de Claire, il est émerveillé de la voir, elle, encore vierge, si réceptive. Ses lèvres quittent le délicieux conin. Il passe sur elle et guide sa queue vers ce que sa bouche vient de délaisser. Quand sa chatte est abandonnée par la langue diabolique, la jeune femme émet un grognement de protestation, que Charles interrompt d’un baiser, mais surtout en insinuant son vit dans le con de Claire. Icelle répond au baiser et ouvre, si cela est possible, encore plus les cuisses. Bien que ce soit une première, la pénétration est aisée. Charles s’enfonce, avec ravissement, dans la chatte palpitante. Il sent une résistance, mais poursuit. L’obstacle est emporté sans difficulté. Le dépucelage n’atténue en rien les ardeurs de la fille de l’amiral, au contraire. Elle s’agrippe à son amant et son corps ondule sous l’abordage, avant de se détendre quand elle jouit. Charles se retire de la grotte d’amour et se répand sur le ventre repu. Il s’allonge au côté de Claire. Celle-ci descend de son nuage de plaisir, embrasse Charles et regarde son sexe maculé d’un mélange de cyprine et d’un peu de sang. Elle se redresse et appelle : — Perrine ! La porte s’ouvre presque ...
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