1. Les surprises du Vicomte


    Datte: 22/06/2020, Catégories: fh, ff, couple, Oral fgode, pénétratio, fsodo, init, historique,

    ... instantanément et la camériste apparaît avant qu’il n’ait eu le temps de se couvrir. Décidément, après la bonne de la marquise, voilà que c’est celle de Claire qui le voit dans le plus simple appareil. En la regardant approcher, il se rend compte qu’elle a le visage empourpré et le regard brillant et ce n’est pas dû qu’aux chandelles. La coquine n’a pas perdu une miette de ce qui vient de se passer : — Oui Mademoiselle.— Apporte-nous de l’eau chaude et des linges pour des ablutions.— Tout de suite, Mademoiselle.— Nombre d’amies m’avaient dit que la première fois ce n’était pas plaisant et que cela pouvait même être douloureux. Certaines ont été gênées plusieurs jours après. Charles, avec toi, c’était… c’était merveilleux. Cela n’a été que du plaisir. Moins de deux minutes plus tard, Perrine revient avec des serviettes et un seau fumant. Tout devait avoir été prévu. Elle verse l’eau dans une bassine. — Merci, tu peux te retirer. À peine la bonne le dos tourné, Claire prend Charles par le sexe et l’entraîne : — Viens ! Nous allons nettoyer ce fripon, avant qu’il ne se remette à l’œuvre. Il la suit. Elle procède à la toilette de Charles. Il lui rend la pareille, avant qu’il regagne le lit. Il recommence à l’embrasser et la caresser. Il va pour la pénétrer de nouveau, mais elle l’arrête : — Attend ! Pas comme ça. Il la regarde, interrogatif : — Que désires-tu ? Elle se hoche de la tête, hésitant visiblement. — Que cela soit autrement.— Autrement, comment ?— … Heu ! Eh bien… Dans ...
    ... le derrière, dit-elle en baissant la voix.— Dans le derrière ! Mais… Je ne puis…— Il n’y a pas de « mais ». Il n’y a pas de « je ne puis ». Tu le peux puisque tu l’as fait à la marquise.— Que diantre ! Comment sais-tu cela ?— Si tu voulais que cela ne s’ébruite pas, il ne fallait point procéder en un lieu où l’on peut être vu. Dis-toi que les palefreniers auxquels vous avez donné représentation n’ont pas gardé l’histoire pour eux, et en plus tu as claironné le nom de Madame de Pierrenoire. Par hasard, l’un des témoins est valet chez nous. Il rendait visite à son frère. Il a conté l’aventure à l’office. Quand Perrine a ouï le nom de cette chère marquise, elle m’a prévenue et j’ai fait narrer l’anecdote par le spectateur qui en était encore tout ébaubi.— J’avoue que j’ai usé ainsi de la marquise, mais…— Encore des « mais ». Je ne veux plus en entendre. Lui accorderais-tu des choses que tu me refuses ?— Certes non, mon aimée, cependant…— Encore à raisonner. Chercherais-tu à te défiler ?— Non, non ! Je veux…— Me dire que tu es d’accord. En ce cas, prends le pot sur la coiffeuse, l’endroit ne se lubrifie point naturellement sauf erreur. Le vicomte renonce à discuter plus avant. Ce que femme veut…. Et puis, par Dieu, si cela se révèle déplaisant, elle ne pourra s’en prendre qu’à elle. Il prend le pot et l’ouvre. Il contient de la crème parfumée qui paraît tout à fait adéquate pour l’usage considéré. Il revient près d’elle. Ils s’embrassent. Il la prie de se mettre à quatre pattes, ...
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