-
Intrusion fraternelle (4)
Datte: 22/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... Alexej qui va revenir vers moi pour reprendre là où nous avons été interrompus : il n’abandonnera pas si facilement. Une boule nerveuse me tord l’estomac. Je repense à ce qu’il s’est passé à l’extérieur : ses mains qui me caressaient, ses lèvres sur ma peau, son sexe désireux de m’imposer sa volonté. J’étais prête à tout accepter une nouvelle fois. — Tu dois trouver un moyen de l’en empêcher. Trouver la force de résister. Je me décolle de ma mère et me plante devant la porte, prête à sortir de la cuisine. Je lui tourne le dos. Je ne peux pas la regarder en face avec ce que je m’apprête à lui dire. — Maman, je te jure que je ne veux pas faire ce qu’il me demande ; mais tout à l’heure, je le voulais, et j’en voudrais bien plus. Je suis désolée, maman : je vais le faire, je le sais. — Et ton mariage ? — Alexej repartira une fois qu’il aura eu ce qu’il veut, comme il a toujours fait. J’aurai alors tout le loisir de m’occuper de mon mari. — Sois prudente, alors, abandonne à contrecœur ma mère tandis que je franchis la porte. Ne te fais pas surprendre. Je m’en vais rejoindre mon homme à table. Il a l’air maintenant vraiment très éméché. De mon côté, avec toutes les émotions fortes de la soirée, je ne ressens plus le moindre effet de l’alcool. Pauvre Jean, s’il savait ce qu’il va se passer… Je suis prise de remords mais je les chasse rapidement. J’aurai bien le temps pour ruminer plus tard. Sur la piste de danse, l’ambiance semble être folle ; nombre de nos invités sont ...
... déchaînés. Je remarque aussi l’absence de plusieurs autres personnes. Après avoir interrogé mon époux, j’apprends qu’ils ont quitté la soirée. J’ai l’impression que ça fait une éternité que je ne me suis pas intéressée à la fête. Il ne faut pas longtemps à Alexej pour venir me rejoindre à table. Il s’installe à ma droite. Mon cœur s’emballe une nouvelle fois. — Alors ? me demande-t-il en tchèque. — Tu avais raison : elle ne dira rien. — Tu vois ? Je te l’avais dit, petite sœur. — Comment as-tu pu te taper ma mère ? le morigéné-je. — Quoi ? C’est elle qui est venue se frotter à moi pendant qu’on dansait, rit-il. Je n’y peux rien si toutes les femmes sont dingues de mon corps ! — Qu’est-ce que vous dites ? interroge Jean qui ne comprend toujours rien au tchèque. — Non, rien, mon amour. Nous parlions juste de la soirée. — Suis-moi, petite sœur, reprend Alexej dans sa langue maternelle. Il est temps que nous passions aux choses sérieuses. — Va te faire foutre ! Comme je m’en doutais, c’est loin d’être suffisant pour me débarrasser de lui. Voilà que ses mains partent à l’attaque de mes cuisses. Je repousse les premiers assauts mais, très vite, comprends que cela ne sert à rien. Jean, trop ivre, ne réalise pas ce qui se joue sous la table. Je sens les mains d’Alexej palper mes cuisses à travers l’épaisse robe de mariée. Je suis prise de torpeur. Ça recommence ! Je ne vais pas pouvoir lui échapper. Je sais très bien que je ne peux me dérober, mais j’espère lui céder le plus tard possible. ...