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Intrusion fraternelle (4)
Datte: 22/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... demande s’il a vu Alexej. Il me répond négativement. Il ne reste plus beaucoup de personnes, la fête touche à sa fin. Une vingtaine de minutes plus tard, Nataša et Dominik viennent vers nous pour nous souhaiter une bonne nuit ; ils ont pris une chambre dans un hôtel cinq étoiles de la région. La mère d’Alexej me lance un grand sourire avant de m’étreindre affectueusement. Elle non plus ne sait pas où est passé son fils. De plus en plus d’invités partent, et Alexej ne montre toujours pas signe de vie. Il n’aurait pas osé partir comme cela sans même un au revoir ? J’ai bien peur que si. Il m’a une nouvelle fois abandonnée. Il a pris ce qu’il voulait, est parti tout comme je l’avais prédit, alors que mon corps le réclamait encore. Je me sens soudain vide. J’étais prête à lui offrir bien plus, et lui me laisse en manque. Fumier ! Merde, je me suis encore fait avoir… J’avais l’impression d’être importante pour lui, d’être spéciale à ses yeux ; mais non, je ne suis rien. C’est finalement à notre tour de quitter la salle. Jean et moi passons le reste de la nuit chez ses parents : c’est l’endroit le plus proche de la salle des fêtes. Nous montons dans notre chambre en évitant de faire du bruit. Ses parents et d’autres invités réfugiés ici dorment déjà. Jean semble excité, il me dévore des yeux ; il est apparemment prêt à profiter de sa nuit de noces. Je n’ai plus trop la tête à ça, mais après ce que j’ai fait plus tôt derrière son dos, je lui dois bien ça. Nus, nous nous collons ...
... l’un à l’autre et commençons à nous caresser. Nous échangeons un baiser langoureux. Je me souviens soudain que deux pénis se sont introduits entre mes lèvres un peu plus tôt. Heureusement, Jean ne repère aucun goût suspect. Le contact de ses mains réveille mon corps délaissé par mon frère. Finalement, je crois que je n’aurai pas besoin de beaucoup me forcer pour coucher avec lui ce soir. La douceur de ses caresses me fait fondre. Il est si adorable… Comme j’aurais aimé qu’Alexej me touche ainsi ! Je me frotte à lui et sens son érection contre mon ventre. Je lui demande de me pénétrer ; il obéit. Sentir son sexe coulisser en moi me fait un bien fou. Je m’allonge de tout mon long pour laisser la sensation glisser dans chaque parcelle de mon corps. Je ferme les yeux pour me concentrer sur mes émotions, cette bouche qui m’embrasse, ces mains qui font honneur à mon corps, ce pénis qui s’agite en moi. Je me sens bien, désirée, aimée. Je m’égare dans mes songes. Mes fantasmes transforment Jean en Alexej. C’est désormais lui qui me fait l’amour ce soir, lui qui embrase ma peau grâce à de sulfureux baisers, lui qui m’investit de sa hampe virile. Je m’imagine être une nouvelle fois à la merci de mon pervers de frère. Je lui suis totalement soumise et le plaisir grimpe. Je me laisse aller à gémir, et Jean me supplie de ne pas faire de bruit pour ne réveiller personne. Je n’en ai rien à faire ; je veux seulement me faire baiser. J’encourage Jean à y aller plus nerveusement. Je veux qu’il me ...