1. Lettre à une inconnue


    Datte: 23/06/2020, Catégories: fh, hotel, telnet, amour, Oral jeu,

    ... Thomas, elle le force à appuyer encore plus son sexe gonflé entre ses fesses. Pendant quelques instants Thomas continue son doux massage, explorant les lèvres humides de désir, les faisant rouler entre ses doigts pour revenir l’instant d’après sur le clitoris. Aucun des deux amants ne sait certainement comment Laurette s’est retrouvée assise au bord du lit, Thomas agenouillé entre ses jambes lui ôtant tout doucement ses chaussures avant de lui caresser doucement puis de lui embrasser les orteils. Ajouter le jean aux vêtements épars dans la chambre n’est qu’une formalité et quand Thomas approche ses lèvres de la dentelle blanche du slip, Laurette se laisse aller en arrière sur les coudes, ouvrant les cuisses au maximum à son amant en lui passant un mollet sur l’épaule. Des lèvres, de la langue et des dents, Thomas explore chaque millimètre de la dentelle détrempée du slip qui ne tarde pas à rejoindre le désordre de la chambre. Inlassablement, Thomas apprivoise ce sexe, goûte le désir de son amante, agace le clitoris de petits coups de langue, suit la ligne des lèvres, s’attarde sur le périnée jusqu’à ce que Laurette lui empoignant la tête lui colle la bouche sur sa vulve en gémissant, inondant sa bouche de son plaisir. Quelques instants plus tard, les vagues du plaisir s’étant apaisées, Laurette cherche les lèvres de Thomas qui se redresse doucement entre ses cuisses. Laurette entreprend alors dégrafer le pantalon qui a bien du mal à contenir les assauts de la verge tendue ...
    ... de Thomas. Impatiemment, il l’aide à le débarrasser de ses derniers vêtements et exhibe alors une verge tendue au maximum par le désir. Tout doucement Laurette s’en empare, la caresse lentement en faisant jouer la peau du prépuce et en couvrant de milles baisers les hanches et le pubis de Thomas. La caresse de sa main douce et le frôlement régulier d’une mèche de cheveux sont un délicieux supplice et il gémit très doucement tandis que son sexe continue encore à grossir. Maintenant Laurette presse le sexe de son amant sur son visage, le faisant rouler sur sa joue, glissant le gland contre son cou, sous son menton, puis, dardant sa langue hors de sa bouche, elle le parcourt de la base au sommet, suivant les veines saillantes, jouant avec le frein. Quand enfin elle ouvre ses lèvres pour engloutir sa verge, Thomas ne touche plus le sol, ne voit plus rien, n’entend plus rien, ne vit plus que par cette langue qui l’entoure, l’aspire, fait monter son plaisir toujours plus haut, toujours plus fort. Luttant pour ne pas se laisser submerger par la jouissance, Thomas arrache presque son sexe des lèvres avides et enlace son amante roulant avec elle sur le dessus de lit en échangeant des baisers passionnés. Des mains, des lèvres, des yeux, les deux amants s’explorent mutuellement, apprivoisent les réactions de l’autre déchiffrent la partition de leurs plaisirs. Thomas a repris avec les doigts ce que ses lèvres et sa langue avaient commencé et explore l’antre brûlant et trempé qui se cache ...
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