La 1ère histoire (3) - Histoires de Sexe

La 1ère histoire (3)

Nous sommes à table, elle porte son collier, nous parlons de choses et d’autres. Je lui dis alors que même une chienne à un nom, je ne vais pas l’appeler la chienne comme "Columbo" appelait son chien "le chien". — Désormais, lorsque tu porteras ton collier tu t’appelleras Zora. Zora la chienne. Es-tu d’accord pour ce nom ? — Oui, c’est joli, j’aime bien. Je suis content, je ne lui montre pas mais je ne pensais pas que cela passerait si facilement. Il faut maintenant que j’arrive à lui faire accepter d’être punie. Mais il faut que je fasse passer cela comme un jeu pour les deux. Sachant qu’elle aime les jeux, tant sexuels que de cartes ou de hasard, me vient une idée que je lui soumets. — Ecoute, lorsque tu devras être punie, je ne veux pas t’imposer des choses que tu n’accepterais pas. — Oui, et que me proposes-tu ? — Comme je sais que tu aimes les jeux de cartes, je te propose de jouer ta punition aux cartes. — C’est à dire ? — Voilà, un jeu est composé de 52 cartes et 2 "joker". — Oui, je connais. — Bien alors, nous allons donner une valeur à chaque carte. Je mélange ensuite le paquet et tu tires des cartes, en sachant que: le roi représente la cravache la dame est la fessée le valet devient le martinet les cartes depuis l’as au 10 donnent le nombre de coups à recevoir à multiplier par 5 et le joker annule la punition. — Si je comprends bien, si je tire un valet et un 9, je recevrais 45 coups de martinet. Par contre si je tire un roi et un "joker" je ne suis pas punie. — ...

... Exact. — Hum, c’est raisonnable, je suis d’accord. Ce repas prend vraiment une tournure agréable, je ne pensais pas parvenir à mes fins aussi aisément. Avant de quitter la table, je lui explique que l’on va continuer le jeu d’exhibition en extérieur. La nuit précédente étant encore gravée dans ma tête et les images qui me revenaient m’incitait à continuer sur mes avantages. Je lui mets la laisse et l’emmène vers la chambre. — Viens, je vais choisir tes vêtements pour la promenade de cet après-midi. Arrivé dans la chambre, je la regarde et ordonne: — Zora, à genou, les mains derrière la nuque et tu restes. — Oui. — Oui qui Zora ? — Oui monsieur ? — D’accord Zora, monsieur dans un premier temps, on verra ensuite comment tu dois m’appeler. — Je dois rester longtemps ainsi. — Silence, Zora, on ne t’a rien demandé, tu dois juste obéir, si tu continues tu seras déjà punie. — Oui, monsieur. Je farfouille dans la commode, je sors un soutien-gorge noir en dentelle qui permettra vu la transparence de bien voir ses pointes de seins, je cherche la culotte assortie, une jolie culotte qui enjolivera ses fesses et permettra de voir sa fente et son sillon. Bon, les bas autofixants, où se trouve-t-il, après un peu de recherche, je les trouve enfin. Bon, visite du dressing, à voilà, une paire de botte noire, montant jusqu’au genou. Et dans la garde-robe, un manteau, je sais qu’elle a un manteau noir trois quart qui arrive à mi-cuisses. Ce dernier est tout léger, mais ce sera suffisant pour cette ...