1. La 1ère histoire (3)


    Datte: 23/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sortie. Je mets l’ensemble sur et devant le lit. — Voilà Zora, tes affaires sont prêtes, mais avant, tu vas passer à la douche et raser ton ventre, dorénavant, je ne veux plus voir de poils sur le bas de ton corps, ton abricot et ta rondelle doivent être vierge de tout poil. — Oui monsieur. — Bien, tu as une heure pour te préparer. — Monsieur, je mets quelle robe ? — Zora, je t’emmène vêtue avec ce qui se trouve dans la chambre, tu n’obéis pas, penche-toi en avant, fais ressortir ta croupe. Elle prend la position. Et là, je lui assène deux claques sur ses fesses. — Compris, Zora. — Oui monsieur. — Bien, tu n’as plus que 55 minutes. 50 minutes plus tard, elle descend: — Je suis prête, monsieur. Bien Zora, alors en voiture on va se promener. Je lui mets sa laisse pour sortir de la maison et nous rendre à la voiture. — Tu ne vas pas me faire sortir avec la laisse, que vont penser les voisins. — Silence Zora, une chienne se sort en laisse, les chiens ne peuvent pas circuler sur la voie publique sans être tenus en laisse. — Mais les voisins. — Les voisins comprendront que tu n’es qu’une chienne, et de toute façon, je me fous de ce que pensent les voisins. Nous roulons jusqu’à un parking bien connu de la région pour ses rencontres "homo", mais également bi et où des couples viennent pour des rencontres furtives ou des exhibitions souvent hot. Arrivés sur place, le parking fait une double boucle, et à l’arrière de ces deux boucles, nous sommes masqués de la vue de personnes ...
    ... arrivant par de petits bosquets. Sur le côté de ces boucles se trouvent des bois s’enfonçant assez loin des emplacements de parking. Il y a plusieurs véhicules présents, mais tous sont vides, personne en vue. Enfin lorsque l’on dit personne en vue, en fait on est observé depuis les buissons. Je sors du véhicule, fais le tour, ouvre la portière passager, je me penche à l’intérieur, attache la laisse au collier de Zora et lui intime de sortir. Nous avançons, moi devant elle. Nous nous enfonçons dans les sous-bois d’une cinquantaine de mètres. Déjà, nous sommes suivis par deux hommes à quelques mètres derrière nous, ils ont compris qu’une exhibition va avoir lieu. Nous nous arrêtons près d’un gros arbre, une épaisse couche de mousse recouvre le sol, l’endroit idéal. wqiirj Les hommes se sont arrêtés à quelques pas et attendent. Je remarque également deux autres personnes un peu plus loin. Il y a quatre voyeurs, deux doivent avoir la trentaine, un autre au moins quarante ans et le dernier que j’ai du mal à distinguer semble plus âgé, mais impossible à dire. Je me tourne vers Zora et déboutonne son manteau, que je fais tomber à terre. Elle est là, debout, en sous vêtement, bas et bottes, avec son collier et sa laisse. — A genou Zora, bras derrière la nuque, et tiens-toi bien droite. — Oui monsieur. — Zora, écarte tes genoux que ton ventre soit accessible. — Oui monsieur. Les quatre lascars se sont approchés. Un a déjà ouvert sa braguette. Je regarde Zora et lui demande: — C’est qui la ...