1. Petits fantasmes avec Clarisse


    Datte: 24/06/2020, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, entreseins, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo,

    Clarisse me présentait désormais son meilleur profil. Non qu’elle ne fût très mignonne de visage, ni ses seins tout à fait ravissants, mais son postérieur était incontestablement la partie la plus sensuelle de son anatomie. Son cul était à la fois rebondi et ferme, il se détachait des reins dans un galbe dont seules les Africaines ont usuellement l’apanage. Il n’était ainsi pas rare que les hommes qui se retournent sur son passage en restent béats d’admiration. Je la prenais en levrette depuis cinq minutes et l’avais forcée à fléchir sa position à quatre pattes. Cambrée sur le matelas, elle tendait cette croupe divine vers moi. Elle me l’offrait littéralement. Et je n’avais qu’une idée en tête, celle de la posséder… J’ai écarté les deux hémisphères fessiers pour mieux visualiser l’objet de mes convoitises. L’œillet, tout plissé, ne cilla pas d’un millimètre. «Cette coquine est serrée du fion», pensai-je, «ça va être un régal de la culbuter». Je déposai un filet de bave tout en haut de la raie, le ru s’écoula le long de la vallée et se déversa dans la dépression anale. Du bout de l’index, par de petits mouvements circulaires, j’ai palpé l’oignon pour bien l’enduire de salive. Je n’eus pas à insister pour y introduire la première phalange. La voie était étroite, mais praticable. Je poussai mon avantage plus en avant, enfonçant avec autorité mon doigt entier dans le fondement. Si Clarisse avait eu le moindre doute sur mes intentions, elle ne pouvait plus les ignorer. Mieux, elle ...
    ... les approuva par un miaulement de plaisir. L’effet fut immédiat : mon érection, que je croyais déjà maximale, parut se renforcer davantage. J’étais dans l’incapacité de prolonger les préliminaires plus longtemps. À l’aide de mes pouces, j’ai écarquillé légèrement la rosette qui s’était immédiatement obstruée quand j’avais retiré mon doigt fouineur. Un minuscule judas se créa, s’ouvrant sur l’obscurité. Je crachai dessus par deux fois, le maculant d’une vaseline naturelle écumante. Docile, Clarisse ne regimbait pas. D’un geste cérémonieux, j’ai placé mon sexe encore luisant de sécrétions vaginales au seuil de l’orifice. Je ne pus m’empêcher de profiter du moment en retardant l’échéance de quelques secondes, comme pour graver dans ma mémoire l’image de ma queue pointée sur ce cul magnifique. Un geignement d’impatience m’extirpa de ma torpeur. Je plongeai en avant… Mon gland franchit sans difficulté la frontière que le sphincter avait laissée ouverte, preuve supplémentaire du consentement total de Clarisse. Elle feula de satisfaction. Mon élan me permit d’insérer d’un coup entre ses fesses environ la moitié de ma queue dont la progression fut stoppée par l’étroitesse du boyau. Sans m’affoler, j’entamai un fonçage méticuleux du puits de ses reins : je reculai d’un demi-centimètre à l’aller pour mieux perforer d’un centimètre plus profond au retour. Elle marquait ce tempo par de petits cris aigus. Je voulus la soulager en allant caresser en parallèle son clitoris, mais un constat ...
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