1. Petits fantasmes avec Clarisse


    Datte: 24/06/2020, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, entreseins, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo,

    ... s’imposa dès que j’effleurai sa chatte : elle était trempée, elle prenait son pied ! Je l’avais maintenant embrochée jusqu’à la garde, je sentais cette base enchâssée dans l’anus alors que ma hampe était comprimée par les parois rectales. C’était un pur délice, je rugissais de plaisir. J’ai débuté les va-et-vient, en augmentant progressivement l’amplitude et la vitesse. Mes ahanements de bûcheron s’accordaient avec les gémissements lascifs de Clarisse, nos excitations s’alimentaient mutuellement. Je l’ai laissée ensuite venir s’empaler d’elle-même par d’habiles ondulations de sa croupe ; je contemplais mon pénis qui coulissait sans entraves à travers son œillet dilaté. Puis j’ai repris les rênes du coït en mains, la saisissant par les hanches et me relevant à moitié pour la pilonner puissamment. Mon bas-ventre venait percuter ses fesses charnues, elle s’agrippait au drap pour encaisser ces secousses tout en lâchant des « Oui ! » d’approbation et d’exhortation. Son ultime acquiescement se prolongea outre mesure dans la naissance d’un orgasme foudroyant. Je l’accompagnai quasi simultanément dans la jouissance… Quand j’ai recouvré pleinement mes esprits, j’étais allongé sur le dos de Clarisse, la queue toujours plantée dans son cul d’où dégoulinait mon foutre. Elle haletait, je cherchais moi aussi à reprendre mon souffle, nous étions tous les deux en sueur. Je murmurai à son oreille : — On dirait que tu as aimé ?— On ne m’avait jamais aussi bien enculée, me répondit-elle. Je ...
    ... bandais encore fort après mon éjaculation, et sa phrase endigua net tout fléchissement de ma rigidité. J’ai alors pris chacun de ses poignets entre mes paumes, la plaquant à plat ventre, et j’ai donné un nouveau coup de reins viril. Elle a glapi de surprise mais n’a nullement protesté ou demandé de m’arrêter… oooOOOooo Clarisse avait-elle prémédité son coup ? Connaissant son côté peu farouche, j’en mettrais ma main à couper : elle avait tout organisé pour accomplir son fantasme d’être prise par deux hommes. Je sortais avec elle depuis deux mois et nous forniquions régulièrement chez moi ou plutôt, pour être précis, dans l’appartement que je partageais avec Nicolas, mon colocataire. Du fait de l’étroitesse des murs et de l’expressivité de ma partenaire pendant l’amour, il avait la primeur de nos ébats et il m’en faisait souvent ironiquement part au petit déjeuner du lendemain matin en constatant mes cernes. Ce fameux soir, nous avions entamé une partie de jambes en l’air mais la porte de ma chambre était (malencontreusement ?) restée à moitié ouverte. Nous étions en train d’opérer en 69, moi en dessous, côté tête de lit, elle au-dessus, face à l’entrée. Tout concentré à titiller son clitoris et masqué par son voluptueux fessier, je n’ai pas vu arriver l’intrus. Tout juste ai-je remarqué que les caresses buccales sur ma verge alternaient désormais avec son doux branlage, mais ce n’était pas pour me déplaire. C’est quand j’ai entendu un râle masculin que j’ai réalisé avec surprise ...