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Une étrange voisine (1)
Datte: 26/06/2020, Catégories: Hétéro
... puissance incroyables, et la jeune femme eut encore plusieurs orgasmes. Eux-mêmes finirent par éjaculer, chacun leur tour, dans la bouche de Marie, qui avala avec gourmandise le sperme qui envahissait sa gorge et coulait sur son visage. Les deux hommes aidèrent Marie à se relever, mais ils n’en avaient pas fini! Ils la ramenèrent sur son tapis de plage. Elle s’abandonnait totalement à son désir et au leur. Agenouillée, les reins cambrés, elle écarta de nouveau les jambes, quand elle sentit la tête d’Antoine plonger entre ses cuisses. Il déposa de petits baisers sur son minou, rougi par les allées et venues des deux gros phallus, et écarta délicatement ses petites lèvres. Le clito de Marie était là, gonflé par le désir, saillant hors de son étui, et il glissa sa langue sur sa tige. Marie poussa une longue plainte, en se cambrant encore plus, pendant que Clovis investissait sa bouche. Elle se mit à le sucer, avidement, et l’énorme gland reprit tout son volume. La pointe de la langue d’Antoine se glissa dans sa grotte, et reçut le flot de cyprine qui s’en échappait. Puis les doigts d’Antoine remplacèrent sa langue, qui remonta tout doucement le sillon séparant les fesses de la jeune femme, jusqu’au petit œillet plissé qui y nichait. La salive de l’homme se mêla à la cyprine qui avait coulée jusque là, pour lubrifier l’étroit orifice, dans lequel il introduisit un doigt. Surprise, Marie poussa un petit cri, mais sa première expérience de sodomie avec Simon lui avait donné le ...
... goût de cette pratique, et elle gémit de plaisir quand Antoine enfonça un deuxième doigt dans son petit cul. Elle se mit à onduler des hanches, en gémissant de plaisir, pendant qu’il vrillait son petit trou. Il s’allongea sur le dos, la bite dressée à la verticale, comme le mât d’un bateau. Marie délaissa Clovis, pour venir s’emmancher dessus, les yeux brillants de désir. De ses doigts, elle écartait sa fente, plus pour découvrir son clito, que pour les besoins de la pénétration. — Oh oui, c’est bon, délirait-elle, comme ça me fait du bien, ta grosse bite dans mon minou…. Oh, ouiii! Je te sens bien! Avant qu’elle ne se tringle elle-même sur la verge plantée dans sa grotte, Clovis vint s’agenouiller derrière Marie, et commença à écarter ses fesses. — Oui, vas-y, encule-moi, l’encouragea-t-elle…. J’ai envie de vous sentir tous les deux en moi. Elle se cambra encore plus, pour mieux offrir son anus à la pénétration du gland turgescent. Il se dilata si facilement qu’elle même eut du mal à réaliser ce qu’il se passait. Bientôt, Clovis fut en elle, dans son petit cul, encore vierge il y a deux jours. Il marqua une courte pause, avant de commencer à aller et venir entre ses fesses. D’abord doucement. Mais chaque poussée de Clovis faisait coulisser la chatte de Marie sur le dard qui la transperçait. C’était si bon que plus rien ne comptait pour elle, en dehors de ses deux orifices complètement investis, et elle se mit à crier. Encouragé par les cris de Marie, Clovis accéléra le ...