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Une étrange voisine (1)
Datte: 26/06/2020, Catégories: Hétéro
... passèrent un long moment à discuter, autour d’une bouteille de jus de pomme. En rentrant chez elle, Marie ressentit de nouveau une impression étrange. Dans son jardin, la chaleur du soleil provoquait en elle un désir de se libérer de ses vêtements, de sentir ces rayons caresser chaque centimètre carré de sa peau. Très vite, ce désir devint impérieux. Elle alla chercher un tapis de plage, datant de ses dernières vacances au bord de la mer. Puis elle enleva tous ses vêtements, et ressortit dans le jardin. Jamais elle ne s’était mise nue ainsi, dehors. C’était une sensation nouvelle, indescriptible. Elle éprouvait une excitation douce et agréable, ses seins étaient redevenus tout durs. Elle déroula le tapis sur le pavage disjoint qui servait de terrasse, et s’allongea en plein soleil. Très vite, elle réalisa qu’il fallait qu’elle se protège des coups de soleil et de l’insolation. Elle rentra chercher un chapeau de paille et de la crème solaire. En passant devant la glace, elle admira une nouvelle fois le reflet de son corps nu. Elle avait du mal à se reconnaître dans cette image de femme belle et libre. Son regard s’attarda sur son mont de Vénus. Une envie inattendue de modifier son aspect, de le rendre plus sexy, s’empara d’elle. Elle entra dans sa salle de bains, et rasa sa chatte, ne laissant qu’une étroite toison taillée en ticket de métro. Elle retourna sur son tapis de plage, et s’y étendit, cuisses largement ouvertes, pour exposer son intimité aux rayons du soleil. Elle ...
... s’enduisit de crème solaire, ses mains s’attardant longuement sur les zones les plus érogènes de son corps. Ses doigts étaient attirés par sa fente comme par un aimant. Elle céda à la tentation, et commença à se caresser. Marie fit durer très longtemps ce premier bain de soleil intégral, et sa peau prenait une belle couleur cuivrée. Elle ne s’était pas encore rhabillée quand Simon quitta l’hôpital. Comme convenu, celui-ci se rendit directement chez Sarah. Lorsqu’il frappa à la porte de la ferme, la vieille femme vint lui ouvrir, en se déplaçant toujours dans son fauteuil roulant. Elle remercia avec effusion Simon d’avoir accepté de tenter de la soulager de ses douleur, et elle lui proposa de s’asseoir, pour goûter à son jus de pomme. Tout en conversant, Simon aperçut sur une étagère plusieurs très vieux livres, dont les titres faisaient référence au culte et aux adorateurs d’Astarté. C’était décidément troublant. Il découvrit à son tour le breuvage dont Marie lui avait parlé. Ce jus de fruit était excellent, et il ne pouvait se comparer à aucun de ceux qu’il avait bus auparavant. Ils restèrent assis devant la table de ferme, discutant de choses et d’autres pendant près d’une demi-heure. — Si vous voulez, je peux vous masser maintenant, lui dit-il. — Avec plaisir, mais il ne faut pas que ça vous dérange. Comment voulez-vous faire?, répondit Sarah. — Le mieux, c’est que vous alliez dans votre chambre, que vous vous déshabilliez, et que vous vous allongiez sur votre lit, sur le ...