1. Une étrange voisine (1)


    Datte: 26/06/2020, Catégories: Hétéro

    ... descendit jusqu’à la vulve offerte, dégoulinante de mouille. Sarah tourna vers Simon son visage, dont il ne pouvait voir les traits dans l’obscurité. Il sentit les doigts de sa patiente ouvrir son jean, et empoigner sa verge dressée. Elle était d’une adresse diabolique, et elle se mit à le branler avec des gestes pleins de sensualité. — Vous savez, Simon, reprit-elle, je pense que vous pouvez me faire du bien avec autre chose que vos mains. A l‘origine de la douleur, il y a toujours des facteurs psychosomatiques, au moins en partie. La disparition du plaisir est autant la cause que la conséquence du vieillissement. Simon comprit ce que Sarah attendait. Il arracha, plus qu’il n’enleva, ses vêtements, et il s’agenouilla entre les jambes écartées. Elle avait glissé sa main entre ses cuisses, et écartait ses petites lèvres, pour offrir sa fente au superbe gland qui en approchait. Elle poussa un cri, lorsqu’il s’enfonça en elle. Il fut surpris par ce qu’il ressentait. La grotte de la vieille femme – mais il ne croyait plus qu’elle soit vraiment si âgée – était d’une douceur incroyable. Il sentait les parois se contracter spasmodiquement autour de sa tige, et elle mouillait tellement qu’il la pénétra complètement d’une seule poussée. Il voulut marquer un temps d’arrêt, pour faire grimper son désir, mais elle se mit à bouger ses hanches, pour s’empaler elle-même sur sa tige. Elle ahanait, en coulissant sur le pieu qui la perforait, comme une hardeuse. Simon se lâcha, et commença à ...
    ... pilonner de toutes ses forces cette chatte qui paraissait si avide de plaisir. Soudain, il vit la silhouette de Sarah se découper sur la glace de l’armoire, éclairée en contre jour par la lampe de chevet. Il fut surpris de découvrir une superbe poitrine, ronde, sculpturale, qui bougeait au rythme du coït, et non pas les seins tombants d’une vieille femme, ballottant tristement. Incrédule, il prit les deux globes dans ses mains; ils étaient aussi fermes et gonflés par le désir que ceux de Marie, la nuit précédente. Il la baisa pendant de longues minutes. S’il en croyait les cris que poussaient Sarah, et ses réactions, elle semblait jouir, mais elle ne se calmait jamais, comme si elle recherchait toujours de nouveaux orgasmes. Simon se contrôlait de plus en plus difficilement, et Sarah marqua enfin un temps d’arrêt. Mais ce n’était qu’un court répit. Elle se dégagea de la bite qui avait chauffé son minou à blanc, pour mieux la guider entre ses fesses. Simon n’avait jamais sodomisé de femme, son éducation l’ayant amené à considérer cette pratique comme répugnante et contre nature. De manière incompréhensible, cette répugnance s’évanouit instantanément, lorsque la main de Sarah empoigna son chibre, et le guida vers son petit trou. Il écarta de ses mains les deux superbes fesses, et elle amena son gland, enduit d’une épaisse couche de cyprine crémeuse, vers l’œillet tout plissé. Simon ferma les yeux quand il pénétra l’étroit fourreau, qui s’ouvrit sans difficultés pour laisser le ...
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