1. Le nouveau pantalon


    Datte: 04/10/2017, Catégories: fh, couple, fépilée, magasin, essayage, Collègues / Travail amour, Oral nopéné,

    Depuis une dizaine de minutes, j’errais dans les rayons « homme » du magasin. J’étais à la recherche d’un pantalon. En réalité, je l’avais déjà trouvé. Mais, mon regard oscillait entre les vêtements et la charmante vendeuse. Je faisais mine de chercher, de farfouiller, de ne pas trouver, juste pour attirer son attention. Je la déshabillais du regard. Elle exacerbait mon désir et mes sens. Cette petite brune aux cheveux courts et à la peau mate portait à merveille l’uniforme de l’enseigne qui l’employait. Son haut blanc moulant et décolleté laissait apparaître la forme de ses seins, sa mini jupe noire, entrevoir discrètement son string. Ses fesses étaient rondes et galbées, ses seins petits mais bien formés. Plus je la regardais, moins j’arrivais à décoller mon regard d’elle. Elle m’envoûtait comme une sirène avec un marin. La fille s’approcha. Maladroitement ou volontairement, elle laissa tomber un vêtement. Je ne bougeai pas. J’étais bloqué. Une folie m’envahissait. Sensuellement, face à moi, elle se baissa en se tortillant, saisit le vêtement et se releva. Je me perdis dans son décolleté. À la vue de ses merveilles, mon cœur s’emballa. Il flottait dans l’air un agréable parfum, mélange sucré de vanille et de fruits exotiques. Cet arôme m’enivra de plus belle. Cette fille transportait mon imaginaire dans un autre monde, un monde de plaisir et de douceur. Le monde réel disparaissait. Nous nous retrouvâmes face à face à quelques centimètres l’un de l’autre. Je sentais son ...
    ... souffle léger et mentholé. Elle me fixait de ses perles noires. Je ne pus les soutenir et baissai les yeux. Brusquement, elle me sortit de mes pensées érotiques. — Bonjour, je peux vous aider ? Sa voix était à l’image de son visage, douce et sensuelle. Je lui balbutiai quelque chose d’incompréhensible. — Pardon ? me dit-elle. Je n’ai pas compris.— Euh… oui… euh… je cherche un… un pantalon. Ma main passa nerveusement derrière ma tête, pour distraire ma tension. — Oui, quelle taille monsieur ? Mes yeux étaient vissés sur sa poitrine et sur son badge. Elle arborait le délicieux prénom de « Camille ». Sa petite voix me rappela de nouveau à la réalité. — Quelle taille monsieur ? Le gros cochon que j’étais pensa « dix sept centimètres si tu veux mesurer. » Je sentis mon visage rougir. J’avais chaud, très chaud même. Si chaud, qu’une goutte perla sur mon visage. Mes mains étaient moites. — Je ne sais pas, je ne la connais pas, mentis-je. C’était un exploit. J’avais réussi à aligner plus de trois mots sans bafouiller ou dire une ânerie. Camille me détailla de haut en bas. Délicatement, elle posa ses mains sur mes hanches, puis sur mon ventre. Elle put sentir mon souffle s’accélérer. Mon cœur battait à tout rompre. J’étais comme un fou. Très professionnellement, elle me répondit : — Un « 40 ». Quelle couleur préférez-vous ? Je n’en savais rien. — Celle qui vous ira le mieux, osai-je. Elle ne se laissa pas décontenancer et me sourit. Camille me contourna en me frôlant. Elle passa une main ...
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