Le nouveau pantalon
Datte: 04/10/2017,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
magasin,
essayage,
Collègues / Travail
amour,
Oral
nopéné,
... sur ma cuisse et de l’autre me caressa outrageusement les fesses. Ouah, quelle sensation ! — Suivez-moi, me glissa-t-elle à l’oreille. Je vais m’occuper de vous. Oh oui, oh oui, occupe-toi de moi, pensais-je. Ma tête était traversée d’idées folles. Mais rien en comparaison de ce qui m’attendait. Je me retournai et la contemplai s’éloigner. Mon regard était obsédé par le mouvement onduleux que ses fesses produisaient à chacun de ses pas. Camille se retourna et me lança avec autorité : — Alors ! Vous venez ? J’obtempérai comme l’esclave sexuel que je voulus être. J’étais irrémédiablement sous son charme, la bave aux lèvres devant ce festin de roi. Devant la multitude de pantalons exposés en rayon, Camille resta quelques secondes à réfléchir et m’en tendit un. — Tenez, essayez ça. Ça devrait vous aller. Elle me fixait droit dans les yeux. Je la dévorais du regard. Mon sexe s’agita. Elle s’en aperçut et me sourit d’une façon qui en disait long sur ses pensées et ses envies. Je lui fis un clin d’œil et pénétrai dans la cabine, refermant le grand rideau sable d’un coup sec. Les anneaux de laiton sonnèrent. Je retirai mon vieux pantalon prestement, giclai mes chaussures et enfilai l’autre tout aussi vite. Je pus constater « l’effet Camille » sur mon caleçon. Il était déformé par mon sexe en érection et taché d’un liquide visqueux. Elle passa la tête et me lorgna de ses yeux coquins. — Alors, ça vous va ? Pas trop à l’étroit ? Je n’avais pas eu le temps de me boutonner. Ses yeux ...
... étaient fixés sur la bosse de mon caleçon. Je n’étais pas surpris, bien au contraire, cette intrusion me ravissait. — Très sexy, miaula-t-elle. Sortez que je vous voie à la lumière. Je m’exécutai à demi fagoté dans ce pantalon très moulant. — Tournez-vous sur vous-même. Pour un instant, je fis le mannequin, trop heureux d’être ainsi examiné par la très jolie Camille. — Vraiment très sexy, miaula-t-elle à nouveau. Il moule vos petites fesses. Son visage avait viré au rouge. Cela en rajoutait à sa beauté. Son regard devenait de braise. Son parfum enflammait mon esprit. Elle se mordillait les lèvres et ondulait en se caressant les cuisses. Moi, je fondais comme neige au soleil devant ce spectacle. Je me liquéfiais. Un instant, je crus sentir mon cœur bondir hors de ma poitrine. Mes mains frémissaient. Mes jambes flageolaient. — Approchez-vous, que je vous voie de très près. Elle s’agenouilla au niveau de mon entrejambe. Mes yeux se perdirent à nouveau dans son décolleté. Naturellement, je passai ma main tremblante dans ses cheveux noirs et les caressai amoureusement. Autour de nous, le monde s’agitait sans prêter attention à notre petit manège. J’avais de plus en plus chaud. Mon visage devenait écarlate. Des bouffées de chaleur s’échappaient de mon col. À travers le pantalon, Camille me caressa et me mordilla. Elle faisait mine de contrôler la taille. En fait, elle me chauffait. Je me sentais durcir de plus en plus. Je perdis la tête, je n’en pouvais plus. Je l’attrapai par ses ...