1. This is the end


    Datte: 28/06/2020, Catégories: fh, handicap, humilié(e), vengeance, chantage, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral policier, fantastiqu,

    ... partis. Pendant le trajet nous écoutons les nouvelles à la radio et je ne suis pas surpris d’entendre que l’identité d’un des braqueurs (bibi) est dorénavant connue des services de police puisqu’il s’agit d’un ancien détenu comme le précise le journaleux. Je suis rassuré de ne rien entendre concernant la disparition du moustachu, même si en entrant dans Béziers, un journaliste annonce qu’il sera absent à la grande manifestation organisée par son syndicat pour des raisons de santé ; nouvelle qui tire une grimace à notre otage. À la frontière, laGuardia Civil le contrôle sans regarder nos papiers d’identité puisqu’il leur présente sa carte de haut fonctionnaire, comme je lui avais demandé, qui lui octroie de nombreux passe-droits. Nous roulons jusqu’à Barcelone où nous nous arrêtons dans un hôtel luxueux. Il tire un peu la tronche, certainement parce qu’il sait que la note sera pour lui. Quant à moi, je commence à me sentir bien. Si tout se déroule sans accrocs, demain, je volerai vers l’Argentine. Vers Paco. L’écolo s’offusque quand je lui dis que nous allons dormir tous les quatre dans la même chambre. De toute manière, encore une fois, je ne lui laisse pas le choix. Il paye pour une suite spacieuse qui déleste son compte en banque de cinq cents euros supplémentaires. 000 À l’hôtel, je contacte le détective privé argentin qui, après avoir reçu un acompte de mille euros via le compte Paypal de notre victime, s’est immédiatement mis à la recherche de mon ex. En début de soirée, ...
    ... en relevant mes courriels à l’ordinateur, j’ai l’agréable surprise de lire un message de Monsieur Ramirez. Il a retrouvé ma femme ! Elle est retournée chez sa mère avec notre enfant, à Mar Del Plata, la plus grande station balnéaire argentine à trois cent cinquante kilomètres de la capitale. Cette excellente nouvelle ne peut qu’égayer ma soirée. 000 Pourtant, dans la nuit, tandis que je suis proche de sombrer dans le sommeil, j’entends un bruit dans notre chambre. J’entrouvre un œil et constate que notre otage est debout. Il se déplace sur la pointe des pieds. Autant de sollicitude à notre égard m’interpelle et je décide de faire semblant de dormir. Il glisse sur le sol, sans bruit, et s’avance vers mon lit. Il s’arrête et je sens ses yeux me détailler. Le salaud est en train de nous jouer un mauvais tour ! Je prétends cependant d’être endormi. Lentement, il pose sa main sur mon sac à dos que j’ai laissé au pied du lit. Je ne bouge pas. Tout doucement, il farfouille à l’intérieur un moment. Il en extirpe son téléphone. Avant qu’il ait le temps de l’allumer pour effacer les photos que j’ai faites, je bondis hors du lit comme un pantin de sa boîte en hurlant : — ESPÈCE D’ENFOIRÉ ! TU CROYAIS POUVOIR NOUS FAIRE LA CERISE ?— JE T’EMMERDE ! vocifère-t-il, puis il lâche son portable en se jetant sur moi, poings en avant, prêt à donner l’assaut. Son premier coup m’atteint en pleine poire, pile sur le coin du pif que Kim m’avait déjà ruiné. La douleur se propage dans mon crâne ! Des ...
«12...171819...»