1. Ma cousine en action


    Datte: 28/06/2020, Catégories: fh, hplusag, hagé, Inceste / Tabou grosseins, groscul, bain, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, attirgros,

    Un week-end particulièrement ensoleillé de printemps, je m’ennuie à la maison. Il faut dire que je me retrouve souvent seul, depuis que je suis divorcé. Mes gamins, en fait je les vois très peu car ils habitent dans l’est, du côté de Strasbourg, et le reste de la famille me tourne volontiers le dos, depuis notre séparation. Pour une fois qu’il ne pleut pas, ce serait quand même bête d’aller m’enfermer dans un cinoche. — Et si j’allais rendre une petite visite à ma cousine Monique ? Nous nous sommes revus récemment à l’occasion d’un enterrement, celui de l’oncle Lucien ou de la tante Odette, ils sont morts à quelques semaines d’intervalle, ces deux-là, l’un a emporté l’autre, mais je ne sais plus lequel. Elle a pris pas mal d’embonpoint, la cousine ; à quarante-cinq ans, elle exhibe des seins obèses et une sacrée paire de fesses. Ses hanches sont XXL et, quand elle se déplace, on dirait un bibendum. Il faut dire aussi qu’elle a un bon coup de fourchette et qu’elle boit volontiers des godets. Divorcée, tout comme moi, elle a attendu que ses enfants soient grands avant de laisser tomber son mari qui la cocufiait jusqu’à plus soif. Maintenant, elle est retournée vivre à la ferme avec ses parents. Dire que c’est là-bas que je l’ai connue, haute comme trois pommes ! Je n’étais pas bien grand moi non plus, nous allions faire les quatre cents coups dans la grange, mettre le bazar dans la basse-cour ou enquiquiner les porcinets. Rien que des bons souvenirs ; à cette époque, c’était ...
    ... même ma meilleure amie. Par la suite, nous nous sommes un peu perdus de vue. Je suis allé m’enterrer dans une banlieue morose, elle est restée à végéter dans son bled paumé. Toujours est-il qu’elle est toujours aussi sympa, rien à voir avec tous ces gens qui ne me parlent plus, sous prétexte que j’ai quitté Aline et qu’ils ne comprennent pas comment j’ai pu me mettre à dos une femme aussi charmante… — Viens me voir quand tu veux, mon cousin, le week-end, je suis toujours là. En plus, avec ta grosse voiture, c’est à peine à plus d’une heure ! Elle habite à cent cinquante bornes de chez moi et c’est vrai que, depuis plus de vingt ans que j’habite là-bas, pas une fois je ne suis allé chez elle. Elle non plus, à vrai dire, mais elle a des circonstances atténuantes car ma femme ne la supportait pas (sans doute jalouse de notre complicité d’antan) et n’a jamais voulu l’inviter à la maison. Ce dimanche, en début d’après-midi, le moteur ronronne sur cette petite route de campagne. J’ai choisi la décapotable, histoire de frimer un peu. Je n’ai malheureusement pas les moyens de m’acheter une Ferrari Spider, alors je me suis rabattu sur une Nissan 350Z, ça en jette bien quand même. J’adore m’arrêter dans les petits villages devant les bistrots pour épater les midinettes. Elles en sont souvent tout excitées et se mettent alors à roucouler. Les plus osées d’entre elles entament parfois la conversation, ce qui me vaut, les jours de chance, quelques bonnes expériences. Le seul petit problème ...
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